Dermot BOLGER (Né en 1959) (6 citations).
Conseil de lecture du roman Une Seconde vie de Dermot Bolger.
"Certains auteurs construisent méticuleusement leur intrigue, et entraînent ensuite adroitement le lecteur dans un voyage imaginaire organisé. Je suis à l'opposé : ce qui m'attire chaque matin à mon bureau est un mélange de stress et de curiosité, car je n'ai tout simplement pas la moindre idée de ce qui va se passer ensuite." (Dermot Bolger In Une seconde vie, p. 8, Note de l'auteur).
"Pour réussir une fiction il faut se plonger dans l'état d'esprit de personnages qui sont différents de ce que l'on est, tout en emportant dans ce voyage ou en y découvrant des parts de soi que l'on ne soupçonnait pas." (Dermot Bolger In Une seconde vie, Note de l'auteur, p. 7).
"Combien de temps vous a-t-il fallu pour vous remettre de la mort de votre femme ? [...]. Le chagrin est encore là, dit-il. On apprend progressivement à oublier... Mais ça vous revient toujours, comme une gifle, aux moments les plus inattendus, des années plus tard." (Dermot Bolger In Une seconde vie, p. 156).
"Il arrive forcément un moment où nous perdons des êtres aimés. Ça nous enlève tout ressort ; nous n'avons plus envie que de nous recroqueviller dans un coin pour mourir. Puis nous ramassons les morceaux et nous continuons ." (Dermot Bolger In Une seconde vie, p. 156).
"En fréquentant le milieu bohème, mon père voulait conserver le droit d'être différent ; ma mère briguait un droit encore plus essentiel, celui d'être comme tout le monde." (Dermot Bolger In Une seconde vie, p. 171).
"Quand m'étais-je confessé pour la dernière fois ? J'entendais encore l'institutrice nous dire l'importance de ce moment de réflexion où, tête baissée, nous fouillions à sept ans notre conscience pour y trouver des péchés que nous nous serions cachés. Les deux filles semblaient méditer, ou bien prier. Je me demandai quel genre de compréhension elles pouvaient attendre de cet homme qui croyait tenir de Dieu le pouvoir de leur pardonner ou de les condamner." (Dermot Bolger In Une seconde vie, p. 220).
"Pour réussir une fiction il faut se plonger dans l'état d'esprit de personnages qui sont différents de ce que l'on est, tout en emportant dans ce voyage ou en y découvrant des parts de soi que l'on ne soupçonnait pas." (Dermot Bolger In Une seconde vie, Note de l'auteur, p. 7).
"Combien de temps vous a-t-il fallu pour vous remettre de la mort de votre femme ? [...]. Le chagrin est encore là, dit-il. On apprend progressivement à oublier... Mais ça vous revient toujours, comme une gifle, aux moments les plus inattendus, des années plus tard." (Dermot Bolger In Une seconde vie, p. 156).
"Il arrive forcément un moment où nous perdons des êtres aimés. Ça nous enlève tout ressort ; nous n'avons plus envie que de nous recroqueviller dans un coin pour mourir. Puis nous ramassons les morceaux et nous continuons ." (Dermot Bolger In Une seconde vie, p. 156).
"En fréquentant le milieu bohème, mon père voulait conserver le droit d'être différent ; ma mère briguait un droit encore plus essentiel, celui d'être comme tout le monde." (Dermot Bolger In Une seconde vie, p. 171).
"Quand m'étais-je confessé pour la dernière fois ? J'entendais encore l'institutrice nous dire l'importance de ce moment de réflexion où, tête baissée, nous fouillions à sept ans notre conscience pour y trouver des péchés que nous nous serions cachés. Les deux filles semblaient méditer, ou bien prier. Je me demandai quel genre de compréhension elles pouvaient attendre de cet homme qui croyait tenir de Dieu le pouvoir de leur pardonner ou de les condamner." (Dermot Bolger In Une seconde vie, p. 220).
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