Tatiana De ROSNAY (née en 1961) (22 citations).
Citations de Tatiana de Rosnay. Article publié le 02/02/2016 à 18H44 et mis à jour le 16/01/2024 à 14H49.
"Sa vie entière, Colombe l'a distribuée aux autres comme une galette des Rois à l'Epiphanie. A présent, elle se garde une part, celle qui contient la fève. Est-ce de l'égoïsme que de se réserver un jardin secret ?" (Tatiana de Rosnay In Le Voisin : roman.- Paris : Ed. Héloïse d'Ormesson, 04/2010, p. 119).
"Certaines femmes se servent de leur beauté pour arriver à leurs fins. D'autres, de leur intelligence. Colombe, elle, a toujours joué de ce qu'elle appelle sa "transparence" : une capacité à faire le caméléon, à se fondre dans la masse, à n'inspirer ni crainte ni méfiance." (Tatiana de Rosnay In Le Voisin : roman.- Paris : Ed. Héloïse d'Ormesson, 04/2010, p. 16).
"Elle se rend aux éditions de l'Etain, place Zénith. Elle y fait le "nègre". Ce mot la hérisse, mais il n'en existe pas d'autre pour décrire son métier. Depuis cinq ans, elle écrit des livres qui ne portent jamais son nom sur la jaquette." (Tatiana de Rosnay In Le Voisin : roman.- Paris : Ed. Héloïse d'Ormesson, 04/2010, p. 23).
"Balthazar. Oscar. Stéphane. Elle sait tout de leurs goûts, leurs habitudes, leurs manies, leurs peurs, leurs passions. Du coup, elle en oublie les siennes." (Tatiana de Rosnay In Le Voisin : roman.- Paris : Ed. Héloïse d'Ormesson, 04/2010, p. 26).
"Elle ne le sait pas, elle ne se doute de rien, mais elle savoure une de ses dernières nuits de sommeil." (Tatiana de Rosnay In Le Voisin : roman.- Paris : Ed. Héloïse d'Ormesson, 04/2010, p. 28).
"Elle ne le sait pas, elle ne se doute de rien, mais elle savoure une de ses dernières nuits de sommeil." (Tatiana de Rosnay In Le Voisin : roman.- Paris : Ed. Héloïse d'Ormesson, 04/2010, p. 28).
"Il voit tout, ses larmes, ses rires, ses doutes, ses peines. Tout d'elle, il a tout vu d'elle." (Tatiana de Rosnay In Le Voisin : roman.- Paris : Ed. Héloïse d'Ormesson, 04/2010, p. 157).
"Souvent, je vais m'asseoir dans l'église, calme et paisible, pour penser à vous. Il y a dix ans maintenant que vous êtes parti, ce fut comme un siècle pour moi." (Tatiana de Rosnay In Rose : roman ; trad. de l'anglais par Raymond Clarinard.- Paris : Ed. Héloïse d'Ormesson, 2011, Le Livre de Poche, p. 14).
"Il règne un froid glacial dans la cuisine, je dois descendre me chercher un châle. Et des gants aussi, mais seulement pour ma main gauche, car de ma droite je veux continuer à vous écrire." (Tatiana de Rosnay In Rose : roman ; trad. de l'anglais par Raymond Clarinard.- Paris : Ed. Héloïse d'Ormesson, 2011, Le Livre de Poche, p. 14).
"Tous étaient affairés à comparer leurs lettres qui commençaient ainsi : "Expropriation par décret". Nous percevrions une certaine somme d'argent selon nos biens et notre situation. Notre rue Childebert devait être totalement détruite afin de poursuivre le prolongement de la rue de Rennes et du boulevard Saint-Germain." (Tatiana de Rosnay In Rose : roman ; trad. de l'anglais par Raymond Clarinard.- Paris : Ed. Héloïse d'Ormesson, 2011, Le Livre de Poche, p. 19).
"Quand je pense à vous, je ne veux pas me rappeler cette lente déchéance. Je veux garder le souvenir des jours heureux. Ceux où cette maison était pleine de vie, d'amour et de lumière." (Tatiana de Rosnay In Rose : roman ; trad. de l'anglais par Raymond Clarinard.- Paris : Ed. Héloïse d'Ormesson, 2011, Le Livre de Poche, p. 36).
"Quand leurs parents leur adressaient la parole, ils recevaient pour toute réponse des haussements d'épaules ou de vagues grognements." (Tatiana de Rosnay In Boomerang : roman. Trad. de l'anglais par Agnès Michaux.- Paris : Edition Héloïse d'Ormesson, 2009, p. 73, Le livre de poche : 31756).
"Quand il entre dans une pièce, les visages se tournent immédiatement vers lui, tels des tournesols vers le soleil." (Tatiana de Rosnay In Boomerang : roman. Trad. de l'anglais par Agnès Michaux.- Paris : Edition Héloïse d'Ormesson, 2009, p. 97, Le livre de poche : 31756).
"Pourquoi nous attachons-nous tant aux maisons ? Pourquoi est-ce si douloureux d'en abandonner une ?" (Tatiana de Rosnay In Boomerang : roman. Trad. de l'anglais par Agnès Michaux.- Paris : Edition Héloïse d'Ormesson, 2009, p. 120, Le livre de poche : 31756).
"Au fil des jours, je supportais de moins en moins l'attente. C'était elle qui allait me tuer, bien plus que la cardiomyopathie qui étouffait mon cœur." (In Le cœur d'une autre : roman. Paris : Librairie Générale Française, 2009, p. 38, Le livre de poche : 31828).
"Devant moi, le jardin était constellé de rosée, de petites perles enfilées sur chaque tige, serties sur chaque feuille, chaque pétale." (Tatiana de Rosnay In Le cœur d'une autre : roman. Paris : Librairie Générale Française, 2009, p. 54, Le livre de poche : 31828).
"Quand leurs parents leur adressaient la parole, ils recevaient pour toute réponse des haussements d'épaules ou de vagues grognements." (Tatiana de Rosnay In Boomerang : roman. Trad. de l'anglais par Agnès Michaux.- Paris : Edition Héloïse d'Ormesson, 2009, p. 73, Le livre de poche : 31756).
"Quand il entre dans une pièce, les visages se tournent immédiatement vers lui, tels des tournesols vers le soleil." (Tatiana de Rosnay In Boomerang : roman. Trad. de l'anglais par Agnès Michaux.- Paris : Edition Héloïse d'Ormesson, 2009, p. 97, Le livre de poche : 31756).
"Pourquoi nous attachons-nous tant aux maisons ? Pourquoi est-ce si douloureux d'en abandonner une ?" (Tatiana de Rosnay In Boomerang : roman. Trad. de l'anglais par Agnès Michaux.- Paris : Edition Héloïse d'Ormesson, 2009, p. 120, Le livre de poche : 31756).
"Devant moi, le jardin était constellé de rosée, de petites perles enfilées sur chaque tige, serties sur chaque feuille, chaque pétale." (Tatiana de Rosnay In Le cœur d'une autre : roman. Paris : Librairie Générale Française, 2009, p. 54, Le livre de poche : 31828).
"J'aimais cette concentration intense, la transmission artistique entre le cerveau et la main. Quel joli contraste avec l'écran d'un ordinateur, qui me semblait à présent bien stérile !" (In Le cœur d'une autre : roman. Paris : Librairie Générale Française, 2009, p. 60, Le livre de poche : 31828).
"Mais vous ne pouvez pas deviner que je vous aime. L'amour que j'éprouve pour vous est un amour solitaire et secret. Personne n'en saura jamais rien." (In Le cœur d'une autre : roman. Paris : Librairie Générale Française, 2009, p. 150, Le livre de poche : 31828).
"N'était-ce pas son essence qui m'habitait, qui avait étoffé le vide de mon existence ? Aurais-je vécu la même aventure avec le cœur d'un autre ? Étais-je le seul greffé à éprouver cette intimité avec son donneur ?" (In Le cœur d'une autre : roman. Paris : Librairie Générale Française, 2009, p. 208, Le livre de poche : 31828).
"Il décela quelque chose dans ses yeux : un soupçon d'espoir, une pointe de souffrance ; des sentiments insaisissables qu'elle effaçait déjà d'un rapide clignement de paupières, comme un essuie-glace balaie la pluie sur un pare-brise." (In Le cœur d'une autre : roman. Paris : Librairie Générale Française, 2009, p. 276, Le livre de poche : 31828).
"Je suppose que toute épouse trompée doit écouter les excuses de son mari, mais j'ai choisi de ne pas subir les tiennes. Pour moi, tu n'as aucune excuse." (In Son carnet rouge. Nouvelle Le cheveu, Le livre de poche, 2015, p. 79).
"Je suppose que toute épouse trompée doit écouter les excuses de son mari, mais j'ai choisi de ne pas subir les tiennes. Pour moi, tu n'as aucune excuse." (In Son carnet rouge. Nouvelle Le cheveu, Le livre de poche, 2015, p. 79).
"Tu pourrais être la femme de ma vie. Celle que tout homme rêve de rencontrer, celle à qui un homme donne tout. Je me réveille le matin, je pense à toi. En me couchant le soir, ma dernière pensée est pour toi." (In Son carnet rouge. Nouvelle Hotel Room, Le livre de poche, 2015, p. 164).
"Tu étais une bulle d'oxygène, une parenthèse délicieuse. Mais tu as pris une place trop importante dans mon existence. Tu représentes désormais un danger. Ce que je ressens pour toi me submerge." (In Son carnet rouge. Nouvelle Hotel Room, Le livre de poche, 2015, p. 164).
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