Italo CALVINO (1923 - 1985) (3 citations).
"Même le froid avait diminué, à croire que la ville s'était enveloppée dans la brume comme dans une couverture." (Italo Calvino In Marcovaldo ou les saisons en ville ; trad. de l'italien par Roland Stragliati. Paris : Julliard, 1979, 10/18 : domaine étranger : 1411, p. 95).
"Il y a tant de gens, plus jeunes et moins jeunes que toi, qui passent leur vie à attendre des expériences extraordinaires ; qu'elles viennent des livres, des personnes, des voyages, des événements ou de ce que les lendemains réservent. Toi non. Tu sais que ce qu'on peut espérer de mieux, c'est d'éviter le pire." (In Si une nuit d'hiver un voyageur. Paris : Gallimard, 2015, Folio, p. 11).
"Tu luttes avec tes rêves comme avec la vie sans sens ni forme, en cherchant un dessin, un parcours qui doit pourtant bien exister, comme quand on commence à lire un livre et qu'on ne sait pas encore dans quelle direction il va aller." (In Si une nuit d'hiver un voyageur. Paris : Gallimard, 2015, Folio, p. 42).
"Il y a tant de gens, plus jeunes et moins jeunes que toi, qui passent leur vie à attendre des expériences extraordinaires ; qu'elles viennent des livres, des personnes, des voyages, des événements ou de ce que les lendemains réservent. Toi non. Tu sais que ce qu'on peut espérer de mieux, c'est d'éviter le pire." (In Si une nuit d'hiver un voyageur. Paris : Gallimard, 2015, Folio, p. 11).
"Tu luttes avec tes rêves comme avec la vie sans sens ni forme, en cherchant un dessin, un parcours qui doit pourtant bien exister, comme quand on commence à lire un livre et qu'on ne sait pas encore dans quelle direction il va aller." (In Si une nuit d'hiver un voyageur. Paris : Gallimard, 2015, Folio, p. 42).
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