Ernest HEMINGWAY (1899 - 1961) (12 citations).
"[...] Quand il voit un bon tableau, il sort un crayon de sa poche et il en prend toutes les mesures en se servant de son crayon et de son pouce. Et il examine, et il mesure, et il cherche à savoir exactement comment c'est fait. Puis il rentre à Londres et il essaie de le refaire et il n'y parvient pas, parce qu'il a laissé échapper le principal." (Ernest Hemingway In Paris est une fête ; traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 144).
"J'appris, à la même époque, que tout ce qu'on abandonne, bon ou mauvais, laisse un sentiment de vide. Mais si c'était quelque chose de mauvais, le vide se comblait tout seul. Dans le cas contraire, il fallait trouver quelque chose de meilleur pour refaire le plein." (In Paris est une fête. traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, pp. 92-93).
"Les tableaux de Cézanne m'apprenaient qu'il ne me suffirait pas d'écrire des phrases simples et vraies pour que mes œuvres acquièrent la dimension que je tentais de leur donner." (In Paris est une fête ; traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 52).
"J'appris, à la même époque, que tout ce qu'on abandonne, bon ou mauvais, laisse un sentiment de vide. Mais si c'était quelque chose de mauvais, le vide se comblait tout seul. Dans le cas contraire, il fallait trouver quelque chose de meilleur pour refaire le plein." (In Paris est une fête. traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, pp. 92-93).
"Il me faudrait évoquer le monde étrange des Six-Jours et les merveilleuses courses routières en montagne. On n'en a jamais parlé correctement qu'en français, et tous les termes techniques sont français, de sorte qu'il m'est très difficile d'écrire sur ce sujet." (Ernest Hemingway In Paris est une fête ; traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 97).
"J'avais déjà appris à ne jamais assécher le puits de mon inspiration, mais à m'arrêter alors qu'il y avait encore quelque chose au fond, pour laisser la source remplir le réservoir pendant la nuit." (In Paris est une fête. traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 99).
"[...] On pouvait omettre n'importe quelle partie d'une histoire, à condition que ce fût délibéré, car l'omission donnait plus de force au récit et ainsi le lecteur ressentait plus encore qu'il ne comprenait." (Ernest Hemingway In Paris est une fête. traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 117).
"Il est des hommes qui portent sur eux la marque du mal comme les pur-sang affichent leur race." (In Paris est une fête. traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 143).
"Découvrir tout ce monde nouveau d'écrivains, et avoir du temps pour lire, dans une ville comme Paris où l'on pouvait bien vivre et bien travailler, même si l'on était pauvre, c'était comme si l'on vous avait fait don d'un trésor." (In Paris est une fête. traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 160).
"Dans l'écriture aussi il y a beaucoup de secrets. Rien ne se perd jamais, même si c'est l'impression que l'on peut avoir sur le moment ; ce qu'on laisse de côté finira toujours par refaire surface et ne fera que renforcer ce qui a été conservé." (In Paris est une fête ; traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 325).
"Ecrire était ce pour quoi j'était né, ce que j'avais fais et ferais encore." (In Paris est une fête ; traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 330).
"Les faits dont on se souvient, jamais on ne pourra les rendre tels qu'ils se sont produits dans la réalité." (In Paris est une fête ; traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 334).
"J'avais déjà appris à ne jamais assécher le puits de mon inspiration, mais à m'arrêter alors qu'il y avait encore quelque chose au fond, pour laisser la source remplir le réservoir pendant la nuit." (In Paris est une fête. traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 99).
"[...] On pouvait omettre n'importe quelle partie d'une histoire, à condition que ce fût délibéré, car l'omission donnait plus de force au récit et ainsi le lecteur ressentait plus encore qu'il ne comprenait." (Ernest Hemingway In Paris est une fête. traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 117).
"Il est des hommes qui portent sur eux la marque du mal comme les pur-sang affichent leur race." (In Paris est une fête. traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 143).
"Découvrir tout ce monde nouveau d'écrivains, et avoir du temps pour lire, dans une ville comme Paris où l'on pouvait bien vivre et bien travailler, même si l'on était pauvre, c'était comme si l'on vous avait fait don d'un trésor." (In Paris est une fête. traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 160).
"Dans l'écriture aussi il y a beaucoup de secrets. Rien ne se perd jamais, même si c'est l'impression que l'on peut avoir sur le moment ; ce qu'on laisse de côté finira toujours par refaire surface et ne fera que renforcer ce qui a été conservé." (In Paris est une fête ; traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 325).
"A l'heure actuelle, ceux qui cherchent à expliquer la création littéraire sont plus nombreux que les bons écrivains." (In Paris est une fête ; traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 325).
"Ecrire était ce pour quoi j'était né, ce que j'avais fais et ferais encore." (In Paris est une fête ; traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 330).
"Les faits dont on se souvient, jamais on ne pourra les rendre tels qu'ils se sont produits dans la réalité." (In Paris est une fête ; traduit de l'américain par Marc Saporta. Paris : Gallimard, 2011, Folio n°5454, p. 334).
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