Pierre ASSOULINE (né en 1953) (8 citations).
Article mis à jour le : 30/11/2019.
"Un Français peut se sentir étranger en France, son expérience sera tout autre lorsqu'il se sentira étranger à l'étranger ; ce qu'il dira aura le parfum de la parole de l'étranger et ce n'est pas un problème d'accent ou de lexique ; juste une question de sensibilité, de tremblement, d'inflexion." (Pierre Assouline In Golem : roman. Paris : Gallimard, 2016, p. 202).
"C'est rare quelqu'un qui ne recherche ni l'affection ni l'attention alors qu'il est tout sauf indifférent. Lui n'était pourtant pas désabusé, mais simplement détaché." (In Golem : roman. Paris : Gallimard, 2016, p. 16).
"On est réduit à peu de choses lorsqu'on vient chercher un diagnostic sans s'avouer que l'on craint un verdict." (In Golem : roman. Paris : Gallimard, 2016, p. 17).
"Nous avançons dans une société où il y aura de moins en moins de gens à qui parler." (In Golem : roman. Paris : Gallimard, 2016, p. 18).
"Chacun de leurs gestes les rendait encore plus traçables ; plus ils se croyaient libres d'envoyer des messages, plus ils aliénaient leur libre arbitre à leur insu." (In Golem : roman. Paris : Gallimard, 2016, p. 37).
"Ce qu'on accomplit de mieux dans une vie, on le fait pour soi et pour quelques-uns." (In Golem : roman. Paris : Gallimard, 2016, p. 163).
"Comme souvent, des conversations se nouaient entre internautes, au grand jour, mais clandestines, codées, subliminales car protégées par le pseudonymat." (In Golem : roman. Paris : Gallimard, 2016, p. 199).
"C'est bien de cela qu'il s'agissait stricto sensu. Cesser de chercher des mots qui embellissent la vérité." (Pierre Assouline In Golem : roman. Paris : Gallimard, 2016, p. 222).
"On est réduit à peu de choses lorsqu'on vient chercher un diagnostic sans s'avouer que l'on craint un verdict." (In Golem : roman. Paris : Gallimard, 2016, p. 17).
"Nous avançons dans une société où il y aura de moins en moins de gens à qui parler." (In Golem : roman. Paris : Gallimard, 2016, p. 18).
"Chacun de leurs gestes les rendait encore plus traçables ; plus ils se croyaient libres d'envoyer des messages, plus ils aliénaient leur libre arbitre à leur insu." (In Golem : roman. Paris : Gallimard, 2016, p. 37).
"Ce qu'on accomplit de mieux dans une vie, on le fait pour soi et pour quelques-uns." (In Golem : roman. Paris : Gallimard, 2016, p. 163).
"Comme souvent, des conversations se nouaient entre internautes, au grand jour, mais clandestines, codées, subliminales car protégées par le pseudonymat." (In Golem : roman. Paris : Gallimard, 2016, p. 199).
"C'est bien de cela qu'il s'agissait stricto sensu. Cesser de chercher des mots qui embellissent la vérité." (Pierre Assouline In Golem : roman. Paris : Gallimard, 2016, p. 222).
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