Anton TCHEKHOV (1860-1904) (8 Citations).

Citations d'Anton Tchekhov. Article publié le 12/12/2021 à 15H38 et mis à jour le 03/03/2024 à 14H52.

"Jour et nuit, je suis hanté, étouffé par la pensée que ma vie est irrévocablement perdue. J'ai bêtement gaspillé mon passé, et mon présent est d'une absurdité terrifiante." (Anton Tchekhov In Oncle Vania ; Trad. de Michel Tremblay, avec la collab. de Kim Yaroshevskaya.- Ottawa : Ed. Lémeac, 04/1983, p. 50).

"Soyez juste. Le reste viendra de surcroît" (Anton Tchekhov cité par Annie Ernaux dans l'émission La Grande Librairie présentée par François Busnel, diffusée sur France 5 le 04/05/2022).

"Dieu merci, mon cerveau est toujours à la bonne place ! Mais on dirait que les sentiments se sont émoussés. Je ne veux rien, je n'ai besoin de rien, je n'aime personne... à part toi, peut-être." (Anton Tchekhov In Oncle Vania ; Trad. de Michel Tremblay, avec la collab. de Kim Yaroshevskaya.- Ottawa : Ed. Lémeac, 04/1983, p. 19).

"J'ai maintenant quarante-sept ans. Jusqu'à l'année dernière j'essayais comme vous de me brouiller la vue avec votre soi-disant scolastique pour m'empêcher de voir la vie comme elle est, et je croyais bien faire. Mais maintenant, si vous saviez ! La nuit, je ne dors plus de rage, de colère, d'avoir si bêtement gâché le temps précieux où j'aurais pu avoir tout ce que ma vieillesse me refuse aujourd'hui." (Anton Tchekhov In Oncle Vania ; Trad. de Michel Tremblay, avec la collab. de Kim Yaroshevskaya.- Ottawa : Ed. Lémeac, 04/1983, pp. 29-30).

"Bon, j'admets qu'on coupe le bois par nécessité mais pourquoi détruire des forêts entières ?" (Anton Tchekhov In Oncle Vania ; Trad. de Michel Tremblay, avec la collab. de Kim Yaroshevskaya.- Ottawa : Ed. Lémeac, 04/1983, p. 34).

"Tu parles de ta vieillesse sur un ton, comme si c'était de notre faute que tu sois vieux." (Anton Tchekhov In Oncle Vania ; Trad. de Michel Tremblay, avec la collab. de Kim Yaroshevskaya.- Ottawa : Ed. Lémeac, 04/1983, p. 43).

"Pleurer sans arrêt le passé, épier le succès des autres, craindre la mort... Je n'en peux plus !" (Anton Tchekhov In Oncle Vania ; Trad. de Michel Tremblay, avec la collab. de Kim Yaroshevskaya.- Ottawa : Ed. Lémeac, 04/1983, p. 45).

"Ne me laissez pas avec lui, non ! Il va me tuer de paroles !" (Anton Tchekhov In Oncle Vania ; Trad. de Michel Tremblay, avec la collab. de Kim Yaroshevskaya.- Ottawa : Ed. Lémeac, 04/1983, p. 47).

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