Pierre-Elie FERRIER dit PEF (né en 1939) (7 citations)
(c) Catherine Hélie.
"Nourris d'imagination, nous le sommes sans doute depuis toujours. Veillons à ne pas en perdre la saveur." (In Petit éloge de la lecture. Paris : Gallimard, 2015, p. 120, Folio : 5992).
"Il est là, le plaisir primal de la lecture, donner à voir l'invisible, entendre l'inaudible au-delà du tracé dérisoire de l'écriture." (PEF In Petit éloge de la lecture. Paris : Gallimard, 2015, p. 13, Folio : 5992).
"La lecture est eau, elle file entre les doigts de la mémoire, elle a des résurgences brutales ou paisibles, amicales ou hérissantes." (In Petit éloge de la lecture. Paris : Gallimard, 2015, p. 58, Folio : 5992).
"Et chez moi passe tout ce qui m'est donné à lire, du billet de train à la Bible. Immense magasin. Autant de genres qu'il y a de gens..." (In Petit éloge de la lecture. Paris : Gallimard, 2015, p. 59, Folio : 5992).
"Victor Hugo se dit "les pieds sur terre et les yeux ailleurs". Les lecteurs, qu'ils soient debout, assis, recroquevillés ou allongés sont les purs colocataires de cette phrase." (In Petit éloge de la lecture. Paris : Gallimard, 2015, p. 65, Folio : 5992).
"Mes parents instituteurs estimaient en effet que la bande dessinée représentait pour la jeunesse un danger mortel, un massacre des valeurs de la lecture, un dévoiement total des mots enfermés dans des bulles, elles-mêmes prisonnières de cases suppléant la narration ou la description d'actes par les dessins enchaînés les uns aux autres." (In Petit éloge de la lecture. Paris : Gallimard, 2015, p. 65, Folio : 5992).
"La lecture achevée, toute cette mécanique besogneuse s'efface, passée à la gomme du souvenir puis à l'oubli. Le livre gît alors comme une enveloppe charnelle debout ou couchée sur quelque rayonnage, son âme enveloppée au purgatoire ou au paradis de la mémoire." (In Petit éloge de la lecture. Paris : Gallimard, 2015, p. 101, Folio : 5992).
"Il est là, le plaisir primal de la lecture, donner à voir l'invisible, entendre l'inaudible au-delà du tracé dérisoire de l'écriture." (PEF In Petit éloge de la lecture. Paris : Gallimard, 2015, p. 13, Folio : 5992).
"La lecture est eau, elle file entre les doigts de la mémoire, elle a des résurgences brutales ou paisibles, amicales ou hérissantes." (In Petit éloge de la lecture. Paris : Gallimard, 2015, p. 58, Folio : 5992).
"Et chez moi passe tout ce qui m'est donné à lire, du billet de train à la Bible. Immense magasin. Autant de genres qu'il y a de gens..." (In Petit éloge de la lecture. Paris : Gallimard, 2015, p. 59, Folio : 5992).
"Victor Hugo se dit "les pieds sur terre et les yeux ailleurs". Les lecteurs, qu'ils soient debout, assis, recroquevillés ou allongés sont les purs colocataires de cette phrase." (In Petit éloge de la lecture. Paris : Gallimard, 2015, p. 65, Folio : 5992).
"Mes parents instituteurs estimaient en effet que la bande dessinée représentait pour la jeunesse un danger mortel, un massacre des valeurs de la lecture, un dévoiement total des mots enfermés dans des bulles, elles-mêmes prisonnières de cases suppléant la narration ou la description d'actes par les dessins enchaînés les uns aux autres." (In Petit éloge de la lecture. Paris : Gallimard, 2015, p. 65, Folio : 5992).
"La lecture achevée, toute cette mécanique besogneuse s'efface, passée à la gomme du souvenir puis à l'oubli. Le livre gît alors comme une enveloppe charnelle debout ou couchée sur quelque rayonnage, son âme enveloppée au purgatoire ou au paradis de la mémoire." (In Petit éloge de la lecture. Paris : Gallimard, 2015, p. 101, Folio : 5992).
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