Nina BOURAOUI (née en 1967) (27 citations).
Citations de Nina Bouraoui. Article publié le 20/07/2016 à 20h47 et mis à jour le 13/02/2025 à 18h48.
Conseils de lectures des roman de Nina Bouraoui : Le Jour du séisme.
"Ma terre tremble. Elle est vivante et incarnée. Elle gémit. Elle est habitée." (Nina Bouraoui In Le Jour du séisme.- Paris : Librairie Générale Française, 2001, p. 11, Le Live de poche : 14991).
"Ma tristesse avait le coupant des couteaux." (Nina Bouraoui In Beaux rivages : roman. Paris : J. C. Lattès, 08/2016, p. 22).
"Dans mon cas, les chemins tracés menaient à une impasse." (In Beaux rivages : roman. Paris : J. C. Lattès, 08/2016, p. 23).
"A chaque fois que je pleurais, c'était rare, je retrouvais un chagrin plus ancien que celui que j'étais en train de vivre, enfoui dans les plis de la petite enfance et dont l'empreinte demeurait." (In Beaux rivages : roman. Paris : J. C. Lattès, 08/2016, p. 24).
"Les chansons ont un grand pouvoir émotionnel, supérieur à celui des odeurs, je trouve [...]." (In Beaux rivages : roman. Paris : J. C. Lattès, 08/2016, p. 38).
"Je dévissais d'une pente dont j'avais jadis atteint le sommet, ne trouvant dans ma chute aucune encoche à laquelle me retenir." (In Beaux rivages : roman. Paris : J. C. Lattès, 08/2016, p. 74).
"Les femmes sont idiotes quand elles sont tristes, pensais-je alors, acceptant un marché de dupes, la peine étant comparable à un brouillard." (In Beaux rivages : roman. Paris : J. C. Lattès, 08/2016, p. 90).
"Parfois je me demande si le bonheur existe, s'il existe vraiment, ou si nous en avons juste l'impression, la sensation [...]." (In Beaux rivages : roman. Paris : J. C. Lattès, 08/2016, p. 243).
"Je ne sais pas si l'on peut mesurer, quantifier le bonheur. Si l'on peut le saisir comme un objet, le serrer contre soi, l'empêcher de tomber." (In Beaux rivages : roman. Paris : J. C. Lattès, 08/2016, p. 244).
"J'ai souvent pensé que ma capacité à souffrir était égale à ma capacité à aimer." (In Beaux rivages : roman. Paris : J. C. Lattès, 08/2016, p. 244).
"Je le fixais à ma vie comme une légende qui n'existait pas et que je pouvais déconstruire à chaque instant." (In Appelez-moi par mon prénom : roman. Paris : Stock, 2008, p. 13).
"J'ignorais si j'étais en train de fabriquer une intimité, si les mots et les images pouvaient se substituer au corps, à ce que l'on peut étreindre." (In Appelez-moi par mon prénom : roman. Paris : Stock, 2008, p. 13).
"Je n'écrivais pas mais j'avais le réflexe de l'écriture, voulant consigner les images ou les idées qui me traversaient." (In Appelez-moi par mon prénom : roman. Paris : Stock, 2008, p. 22).
"Notre correspondance était devenue un mode de vie, j'en craignais la disparition." (In Appelez-moi par mon prénom : roman. Paris : Stock, 2008, p. 36).
"Je pensais m'être trompée, que l'amour n'existait pas, qu'il était fait d'élans puis qu'il se dispersait comme une poignée de sable que l'on jette au vent." (In Appelez-moi par mon prénom : roman. Paris : Stock, 2008, p. 50).
"Les livres constituaient une résistance au vide (l'empilement des mots, comme une échelle vers le ciel)." (Nina Bouraoui In Appelez-moi par mon prénom : roman. Paris : Stock, 2008, p. 50).
"Le monde arrivait à moi dans une douceur que je ne lui connaissais plus. Je souriais sans motif, ayant conscience d'un bonheur absolu." (In Appelez-moi par mon prénom : roman. Paris : Stock, 2008, p. 62).
"J'avais l'idée de vivre l'envers des choses et des apparences." (In Appelez-moi par mon prénom : roman. Paris : Stock, 2008, p. 97).
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