Iain LEVISON (né en 1963, en Ecosse) (11 citations).
"C'est le genre d'individu que je vomis depuis des années, le beau parleur qui veut quelque chose de vous et le prend à la seconde où vous baissez la garde." (Iain Levison In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 173).
"[...] J'en apprends de plus en plus sur les compétences que je n'ai pas, sur la formation que je n'obtiendrai jamais, sur des emplois à pourvoir dans des domaines dont j'ignorais jusqu'à l'existence." (Iain Levison In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, pp. 9-10).
"Plus je voyage et plus je cherche du travail, plus je me rends compte que je ne suis pas seul. Il y a des milliers de travailleurs itinérants en circulation, dont beaucoup en costume cravate, beaucoup dans la construction, beaucoup qui servent ou cuisinent dans vos restaurants préférés." (In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 13).
"Le travail est dur, mais ceux avec qui je travaille sont durs à la peine. Tous ont un autre boulot et beaucoup enchaînent directement les deux, cinq ou six jours par semaine." (In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 68).
"Je marche dans une rue animée pleine de sans-abri et de quasi sans-abri, rappels ambulants et éloquents de ce qui arrive quand tout s'effondre." (In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 73).
"Il pense que je manque de motivation, de cette flamme dans le ventre qui vous fait désirer atteindre des objectifs. C'est vrai, je pense que les objectifs ne veulent rien dire." (In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 80).
"Quand on travaille dans la cale et qu'on dort sous le pont, on peut passer des jours sans voir la lumière du soleil. Nous avons le droit de quitter le bateau quand nous ne sommes pas en service, mais personne n'en a vraiment la force." (In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 100).
"Je suis incasable pour la moitié du monde, et l'autre ne m'intéresse pas." (In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 186).
"Il y a de nombreuses façons de voir la chose. Ca ne va pas si mal. Je vis dans le pays le plus riche du monde ; même être fauché ici vaut mieux que d'appartenir à la classe moyenne du Pérou ou de l'Angola." (Iain Levison In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 186).
"[...] J'en apprends de plus en plus sur les compétences que je n'ai pas, sur la formation que je n'obtiendrai jamais, sur des emplois à pourvoir dans des domaines dont j'ignorais jusqu'à l'existence." (Iain Levison In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, pp. 9-10).
"Plus je voyage et plus je cherche du travail, plus je me rends compte que je ne suis pas seul. Il y a des milliers de travailleurs itinérants en circulation, dont beaucoup en costume cravate, beaucoup dans la construction, beaucoup qui servent ou cuisinent dans vos restaurants préférés." (In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 13).
"Le travail est dur, mais ceux avec qui je travaille sont durs à la peine. Tous ont un autre boulot et beaucoup enchaînent directement les deux, cinq ou six jours par semaine." (In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 68).
"Je marche dans une rue animée pleine de sans-abri et de quasi sans-abri, rappels ambulants et éloquents de ce qui arrive quand tout s'effondre." (In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 73).
"Il pense que je manque de motivation, de cette flamme dans le ventre qui vous fait désirer atteindre des objectifs. C'est vrai, je pense que les objectifs ne veulent rien dire." (In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 80).
"Quand on travaille dans la cale et qu'on dort sous le pont, on peut passer des jours sans voir la lumière du soleil. Nous avons le droit de quitter le bateau quand nous ne sommes pas en service, mais personne n'en a vraiment la force." (In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 100).
"[...] Il a ce long regard intense de quelqu'un qui veut que vous compreniez la gravité de la conversation, comme un amant avide d'engagement. Il me fout la trouille." (In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 103).
"Je suis incasable pour la moitié du monde, et l'autre ne m'intéresse pas." (In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 186).
"Il y a de nombreuses façons de voir la chose. Ca ne va pas si mal. Je vis dans le pays le plus riche du monde ; même être fauché ici vaut mieux que d'appartenir à la classe moyenne du Pérou ou de l'Angola." (Iain Levison In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 186).
"Ce n'est pas une question d'argent. Le véritable problème c'est que nous sommes tous considérés comme quantité négligeable. Un humain en vaut un autre. La loyauté et l'effort ne sont pas recompensés." (In Tribulations d'un précaire : récit. Trad. de l'américain par Fanchita Gonzalez Batlle. Liana Levi, 2007, p. 187).
Ca m'intéresse ce livre..je pense le ire prochainement!
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