Sophie LEMP (Née en 1979) (19 Citations)
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Citations de Sophie Lemp. Article publié le 08/02/2019 à 20h07 et mis à jour le 02/11/2025 à 10h18.
Conseils de lectures des romans de Sophie Lemp : Le fil ; Leur séparation.
"A la première lecture, j'avais aimé la simplicité de ces trois carnets, le quartier qu'ils décrivaient, le récit de nos journées ensemble, les petits, et les grands événements de sa vie et de la mienne." (Sophie Lemp in Le Fil.- Paris : Ed. de Fallois, 2015, p. 54).
"L'écriture a toujours été au centre de sa vie." (Sophie Lemp In Les miroirs de Suzanne.- Paris : Allary Ed., 2019, p. 40).
"Son rapport à l'écriture a changé mais quand elle rencontre des difficultés, c'est toujours en écrivant qu'elle tente de les résoudre." (Sophie Lemp In Les miroirs de Suzanne.- Paris : Allary Ed., 2019, p. 41).
"[...] Elle a su qu'elle ne trahissait rien, que son présent n'existerait pas sans ce passé-là." (Sophie Lemp In Les miroirs de Suzanne.- Paris : Allary Ed., 2019, p. 43).
"Tout ce qui lui arrivait l'atteignait avec force." (Sophie Lemp In Les miroirs de Suzanne.- Paris : Allary Ed., 2019, p. 51).
"Vous dites que la vie est faite de rencontres. Je voudrais que vous vous arrêtiez sur mon chemin." (Sophie Lemp In Les miroirs de Suzanne.- Paris : Allary Ed., 2019, p. 55).
"Suzanne n'avait jamais vécu de rencontre sans lendemain. Elle n'avait jamais été insouciante. Chacun de ses désirs s'était transformé en histoire." (Sophie Lemp In Les miroirs de Suzanne.- Paris : Allary Ed., 2019, p. 130).
"Il a toujours aimé le train. Ne pas savoir qui part ni qui revient. Imaginer mille vies possibles." (Sophie Lemp In Les miroirs de Suzanne.- Paris : Allary Ed., 2019, p. 163).
"Grâce aux mots qu'elle avait écrits presque chaque soir, j'extirpe de ma mémoire des jours que je croyais oubliés." (Sophie Lemp in Le Fil.- Paris : Ed. de Fallois, 2015, pp. 21-22).
"Grâce aux mots qu'elle avait écrits presque chaque soir, j'extirpe de ma mémoire des jours que je croyais oubliés." (Sophie Lemp in Le Fil.- Paris : Ed. de Fallois, 2015, pp. 21-22).
"Le chagrin devenait moins violent. Il n'y avait plus ces vagues de larmes qui m'envahissaient sans prévenir." (Sophie Lemp In Le fil. Paris : Ed. de Fallois, 2015, p. 30).
"Il y a deux ans, je me suis demandé combien de temps durait un deuil. Si un jour viendrait où je cesserais de penser à elle, et d'avoir du chagrin." (Sophie Lemp In Le fil. Paris : Ed. de Fallois, 2015, p. 88).
"Il y a deux ans, je me suis demandé combien de temps durait un deuil. Si un jour viendrait où je cesserais de penser à elle, et d'avoir du chagrin." (Sophie Lemp In Le fil. Paris : Ed. de Fallois, 2015, p. 88).
"La douleur n'est pas mois forte aujourd'hui, ni le manque, simplement ils se sont faits à moi, ou je me suis faite à eux." (Sophie Lemp in Le Fil.- Paris : Ed. de Fallois, 2015, p. 88).
"J'aime trouver en d'autres quelque chose qui me fait penser à elle." (Sophie Lemp In Le fil. Paris : Ed. de Fallois, 2015, p. 92).
"Regarder tout ce qu'elle aimait. Ecrire avec l'impression de tenir quelque chose de si fragile que je pourrais le perdre à tout instant." (Sophie Lemp in Le Fil.- Paris : Ed. de Fallois, 2015, p. 94).
"Juste en dessous de la dernière phrase, griffonnée de sa main déjà tremblante, je note la date et commence à écrire, rêvant alors que de ses mots, les siens mêlés aux miens, ne subsiste qu'une chose : la lumière." (Sophie Lemp In Le fil. Paris : Ed. de Fallois, 2015, p. 95, dernière phrase).
"Rue Monde, tout est vivant, patiné, habité, tandis qu'ici tout est neuf, vierge, dépouillé." (Sophie Lemp In Leur séparation. Allary Editions, 2017, p. 28).
"Dans ma mémoire, la séparation est ma première douleur, comme si, tout ce qui s'était passé avant avait été joyeux." (Sophie Lemp In Leur séparation. Allary Editions, 2017, p. 44).
"L'existence que je mène avec ma mère ne ressemble pas à celle que je mène avec mon père, et aucune des deux ne se rapproche de celle que nous menions tous les trois." (Sophie Lemp In Leur séparation. Allary Editions, 2017, p. 51).
"Regarder tout ce qu'elle aimait. Ecrire avec l'impression de tenir quelque chose de si fragile que je pourrais le perdre à tout instant." (Sophie Lemp in Le Fil.- Paris : Ed. de Fallois, 2015, p. 94).
"Juste en dessous de la dernière phrase, griffonnée de sa main déjà tremblante, je note la date et commence à écrire, rêvant alors que de ses mots, les siens mêlés aux miens, ne subsiste qu'une chose : la lumière." (Sophie Lemp In Le fil. Paris : Ed. de Fallois, 2015, p. 95, dernière phrase).
"Rue Monde, tout est vivant, patiné, habité, tandis qu'ici tout est neuf, vierge, dépouillé." (Sophie Lemp In Leur séparation. Allary Editions, 2017, p. 28).
"Dans ma mémoire, la séparation est ma première douleur, comme si, tout ce qui s'était passé avant avait été joyeux." (Sophie Lemp In Leur séparation. Allary Editions, 2017, p. 44).
"L'existence que je mène avec ma mère ne ressemble pas à celle que je mène avec mon père, et aucune des deux ne se rapproche de celle que nous menions tous les trois." (Sophie Lemp In Leur séparation. Allary Editions, 2017, p. 51).
"Ecrire fait revenir les souvenirs (ou me rend plus attentive." (Sophie Lemp In Leur séparation. Allary Editions, 2017, p. 77).














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