Nathalie RHEIMS (Née en 1959) (13 Citations)

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Citations de Nathalie Rheims. Article mis à jour le : 08/10/2022.

Conseils de lectures de Nathalie Rheims : L'un pour l'autre.

"L'amour s'infiltre comme une maladie, un long symptôme qui s'empare de vous et laisse se décomposer votre corps d'avant." (Nathalie Rheims In Journal intime : roman.- Paris : Léo Scheer, 09/2007, p. 26).

"Ce livre t'est destiné. Le précédent appartenait à ton ombre. Ce personnage de fiction avait-il seulement quelque chose de commun avec toi ?" (Nathalie Rheims In Journal intime : roman.- Paris : Léo Scheer, 09/2007, p. 9).

"Combien de lignes me seront destinées ? Et lorsqu'il n'y aura plus rien à dire, lorsque tu m'auras tuée, ayant épuisé ton sujet, tu ouvriras un autre chapitre." (Nathalie Rheims In Journal intime : roman.- Paris : Léo Scheer, 09/2007, p. 31).

"Ne plus penser à toi accroché à mon cœur. Tu es l'absent de mes jours, le brouillard qui m'aveugle." (Nathalie Rheims In Journal intime : roman.- Paris : Léo Scheer, 09/2007, p. 107).

"Je ne sais pas si tu existes. Quelquefois, je suis sûre de te voir. J'ouvre ma porte et tu es là. Mais, il suffit que je ferme les yeux pour que tu t'envoles." (Nathalie Rheims In Journal intime : roman.- Paris : Léo Scheer, 09/2007, pp. 116-117).

"Il n'y a pas de vérité des sentiments. C'est une matière fluide qui glisse entre les doigts. Du mercure brûlant, impossible à saisir." (Nathalie Rheims In Journal intime : roman.- Paris : Léo Scheer, 09/2007, pp. 131).

"Je viens de passer l'examen d'entrée au conservatoire de la rue Blanche. La beauté des vers de Racine me donne le vertige. Tout mon corps a tremblé." (Nathalie Rheims In Journal intime : roman.- Paris : Léo Scheer, 09/2007, p. 133).

"L'imaginaire restera mon maître, c'est à lui seul que je veux obéir." (Nathalie Rheims In Journal intime : roman.- Paris : Léo Scheer, 09/2007, p. 139).

"Je me réveille et m'endors avec vous, en pensée." (Nathalie Rheims In L'un pour l'autre : récit.- Paris : Ed. Galilée, 1999, p. 13).

"Nos mains, qui se rencontrent pour la première fois, semblent se connaître depuis toujours." (Nathalie Rheims In L'un pour l'autre : récit.- Paris : Ed. Galilée, 1999, p. 26).

"Votre voix s'est tue. Elle ne s'adresse plus aux vivants, mais il suffit de penser à vous pour l'entendre." (Nathalie Rheims In L'un pour l'autre : récit.- Paris : Ed. Galilée, 1999, p. 44).

"Ce pourrait être comme un oubli, mais pas de ceux qui effacent les êtres. De ceux, plutôt, qui les restituent, dans le mystère de leur existence." (Nathalie Rheims In L'un pour l'autre : récit.- Paris : Ed. Galilée, 1999, p. 66).

"Il vous voit, aussi, en funambule relevant sans cesse les défis de l'existence, vacillant parfois, mais ne tombant jamais." (Nathalie Rheims In L'un pour l'autre : récit.- Paris : Ed. Galilée, 1999, p. 70).