Billy WILDER (1906 - 2002) (29 citations).
Citations de Billy Wilder. Article publié le 11/10/2012 à 23h et mis à jour le 26/02/2024 à 10H36.
"Je me souviens très bien de ma mère. Je l'ai vue en 1936 quand je suis retourné en Europe. Je l'ai vue, puis je suis revenu en Amérique, et elle s'est mariée. Je ne sais rien de la façon dont elle a fini dans un camp, je sais seulement que c'était Auschwitz parce que c'est là que tous les gens de Vienne, où elle vivait, étaient envoyés. Je ne savais pas que les camps de concentration existaient. C'était tenu secret." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 32).
"Mon père était un homme qui se dispersait dans toutes sortes sortes de directions." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 18).
"J'ai fait mes études dans le plus mauvais lycée de Vienne. Les élèves étaient soit retardés soit des génies fous, absolument." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 18).
"Je pensais à Cary Grant pour quatre de mes films. C'était un ami, je l'aimais énormément et il m'aimait bien. Mais il était méfiant ; il ne voulait pas être entre de nouvelles mains. Il jouait presque toujours le même rôle." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 22).
"Je suis un grand admirateur de M. Lubitsch. J'adorais vraiment cet homme, en tant qu'être humain et en tant qu'artiste -très en avance sur son temps." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 30).
"Moi, voyez-vous, je suis un touche-à-tout. J'ai fait des films dans tous les genres, bons, mauvais, passables." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 30).
"En fait, quand je me sens très misérable, je tourne toujours une comédie. Et quand je suis gonflé à bloc, alors je tourne un film sérieux. Un film sérieux, un film noir, et puis ça devient ennuyeux et je reviens à la comédie." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 30).
"J'ai senti que le public des jeunes changeait. Ils voulaient voir des films d'un genre différent. Mais ils étaient là pour La Liste de Schindler, avec les larmes aux yeux. Un film très important." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 32).
"La première partie de Full Metal Jacket est le meilleur film que j'ai jamais vu." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 34).
"Je ne surestime jamais les spectateurs et ne les sous-estime pas non plus. J'ai une idée très raisonnable du public auquel nous nous adressons, nous ne faisons pas un film pour la fac de droit de Harvard, nous faisons un film pour des gens ordinaires, les gens que vous voyez dans le métro, les gens que vous rencontrez au restaurant. Des gens normaux." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 63).
"Certains films ont un effet formidable sur un public de huit personnes. Ce n'est pas ce que je cherchais. Je visais la masse." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 65).
"Chandler n'aimait pas non plus Agatha Christie. Chacun avait ce qui manquait à l'autre. Christie avait le sens de la construction là où quelquefois l'intrigue était puérile. Elle avait la structure mais lui manquait la poésie." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 66).
"On ne peut jamais, jamais, jamais prévoir la réaction du public. On ne sait jamais comment il va être affecté." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 76).
"Hier, on m'a donné un prix mais nul n'a parlé de mes mauvais films. J'en ai fait tellement. Dans notre métier, on ne met jamais dans le mille chaque fois. Une fois sur deux c'est déjà bien." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 83).
"J'ai cette capacité d'oublier ce dont je ne veux pas me souvenir." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 85).
"Hier, on m'a donné un prix mais nul n'a parlé de mes mauvais films. J'en ai fait tellement. Dans notre métier, on ne met jamais dans le mille chaque fois. Une fois sur deux c'est déjà bien." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 83).
"J'ai cette capacité d'oublier ce dont je ne veux pas me souvenir." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 85).
"Aujourd'hui, les gens écrivent très vite alors qu'ils devraient prendre leur temps. Ecrire, polir, peaufiner, tout ça réclame de la patience." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 88).
"Le film est le résultat du travail collectif, du résultat de l'effort d'un grand nombre de gens. C'est amusant de faire du cinéma parce que vous vivez cinq, dix ou quinze ou vingt vies différentes. Vous évoluez dans des milieux différents." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 89).
"Le film est le résultat du travail collectif, du résultat de l'effort d'un grand nombre de gens. C'est amusant de faire du cinéma parce que vous vivez cinq, dix ou quinze ou vingt vies différentes. Vous évoluez dans des milieux différents." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 89).
"Je ne sais pas chanter, je ne sais pas jouer du piano. Je suis totalement incompétent. Mais, pour ce qui est d'une chanson ou d'une partition pour un film, j'ai un certain sens de la musique. Là, je suis très difficile." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 94).
"Ma mère est morte en camp de concentration, comme son second mari, que je n'ai jamais connu et comme ma grand-mère." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 107).
"Je n'ai jamais eu beaucoup d'amis dans le monde du cinéma. Je prends beaucoup plus de plaisir avec mon dentiste, par exemple. Il me parle de la vie réelle..." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 110).
"Je n'étais qu'un scénariste qui se trouve aussi être réalisateur." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 111).
"Il faut donner vie à ce qui est écrit." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 112).
"Freud détestait les journalistes. Il en avait horreur : ils se moquaient tous de lui." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 122).
"J'ignore pourquoi elle [Marilyn Monroe] est devenue si populaire. Je n'ai jamais su. Elle était, enfin, c'était une star. Chaque fois qu'elle apparaissait, elle était quelque chose. Même en colère, c'était une personne remarquable ! Une personne remarquable dans la vie et plus encore à l'écran." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 136).
"Je fais simplement un film et j'espère qu'il sera bon, qu'il divertira les gens et leur montrera quelque chose qu'ils n'ont pas encore vu." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 163).
"Je n'étais pas le gars qui écrit des révélations profondes ou une pièce comme En attendant Godot. Ce qui m'intéressait, c'était d'élever le goût de l'individu moyen, l'élever juste un petit peu." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 189).
"Je n'avais aucune idée, au lycée, de ce que j'allais faire dans la vie. Je me contentais de résister à l'idée de mon père de faire de moi un avocat. Ça, je ne le voulais pas." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 192).
"Je n'étais pas le gars qui écrit des révélations profondes ou une pièce comme En attendant Godot. Ce qui m'intéressait, c'était d'élever le goût de l'individu moyen, l'élever juste un petit peu." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 189).
"Je n'avais aucune idée, au lycée, de ce que j'allais faire dans la vie. Je me contentais de résister à l'idée de mon père de faire de moi un avocat. Ça, je ne le voulais pas." (Billy Wilder In Conversations avec Billy Wilder / Cameron Crowe ; avec la coll. de Karen Lerner ; préf. de Thierry Frémaux ; trad. de l'anglais (USA) par Jean-Pierre Coursodon.- Paris, Arles : Institut Lumière, Actes Sud, 11/2004, p. 192).
"Les pessimistes ont fini à Hollywood, et les optimistes à Auschwitz." (Cité par David Foenkinos In Charlotte : roman, Gallimard, 2014, p. 55).
«Faites confiance à votre instinct. Il vaut mieux que les erreurs soient les vôtres, plutôt que celles de quelqu'un d'autre.»
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