Justine LEVY (Née en 1975) (15 Citations).

 

Citations de Justine Lévy. Article mis à jour le : 05/06/2023.

"Mais c'est moi devais être morte, ou trop blessée pour souffrir encore, ou tellement en état de choc que rien pouvait plus me toucher." (Justine Lévy In Rien de grave.- Paris : Librairie Générale Française, 01/2006, p. 58, Le Livre de poche : 30406).

"Je ne pleure pas mais quelque chose en moi a bougé, un pincement du côté du cœur, un battement comme quand on a couru trop vite." (Justine Lévy In Rien de grave.- Paris : Librairie Générale Française, 01/2006, p. 10, Le Livre de poche : 30406).

"On se taisait, il y avait trop à dire, on s'entendait si bien quand on ne se disait rien, c'est dans le silence qu'on s'entendait le mieux, finalement." (Justine Lévy In Rien de grave.- Paris : Librairie Générale Française, 01/2006, p. 60, Le Livre de poche : 30406).

"Pour l'heure, elle est en retard, comme d'habitude. Que ce soit clair : maman est chronostique ; le temps existe, mais elle n'y croit pas." (Justine Lévy In Le Rendez-vous.- Paris : Plon, 04/1995, p. 11).

"Je n'écoute plus. Je ne veux plus l'entendre. Je ferme à demi les yeux. Je voudrais être ailleurs. Ou une autre. Je voudrais avoir le courage d'affronter sa déception, sa tristesse, tout son petit rêve envolé." (Justine Lévy In Le Rendez-vous.- Paris : Plon, 04/1995, p. 57).

"Ce qui compte n'est pas que je sois heureuse avec elle, mais qu'elle le croie." (Justine Lévy In Le Rendez-vous.- Paris : Plon, 04/1995, p. 62).

"On se racontait mille choses, n'importe quoi, j'ai oublié, cela n'avait pas d'importance, nous étions seuls au monde et cela durerait jusqu'à toujours." (Justine Lévy In Le Rendez-vous.- Paris : Plon, 04/1995, p. 72).

"A peine une ligne de lumière sous l'épais rideau de velours sombre... J'étais bien, j'écoutais le silence." (Justine Lévy In Le Rendez-vous.- Paris : Plon, 04/1995, p. 73).

"Mon cœur me faisait mal tant il cognait dans ma poitrine. J'étais là, à deux heures du matin, seule au monde, la gorge serrée, pleurant doucement dans le noir." (Justine Lévy In Le Rendez-vous.- Paris : Plon, 04/1995, p. 75).

"Et je la revoie, elle, déguisée : une manière plus raide de se tenir, un sourire mécanique, un regard plus loin, déjà "après", un regard qui avait l'air de vous survoler." (Justine Lévy In Le Rendez-vous.- Paris : Plon, 04/1995, p. 81).

"Elle ne riait plus vraiment. Elle riait sans rire, comme si elle ne savait plus." (Justine Lévy In Le Rendez-vous.- Paris : Plon, 04/1995, p. 81).

"Parfois, une phrase, un mot arrivaient jusqu'à elle. Elle les attrapait au vol. Et un pâle sourire éclairait son visage. Pour un instant, elle était là, elle m'écoutait. Mais cela ne durait pas." (Justine Lévy In Le Rendez-vous.- Paris : Plon, 04/1995, pp. 83-84).

"Je n'en peux plus de ruminer ces souvenirs. Ils m'encombrent, ils m'oppressent, on n'en a jamais fini, ils ne vous laissent jamais tranquille." (Justine Lévy In Le Rendez-vous.- Paris : Plon, 04/1995, p. 111).

"Vois-tu, nos seuls moments de bonheur, il me semble que je les ai rêvés." (Justine Lévy In Le Rendez-vous.- Paris : Plon, 04/1995, p. 174).

"Encore une fois, pour la millième fois, nous avions rendez-vous et nous nous sommes manquées." (Justine Lévy In Le Rendez-vous.- Paris : Plon, 04/1995, p. 177).