Mary HIGGINS-CLARK (1927-2020) (14 Citations).

Photo de Mary Higgins-Clark. Source : https://www.albin-michel.fr/mary-higgins-cl

Citations de Mary Higgins-Clark. Article publié le 20/08/2022 à 19h36 et mis à jour le 19/10/2024 à 14h06. 

"Il n'y avait pas un chat dehors. Le vent âpre ôtait probablement à quiconque l'envie de sortir." (Mary Higgins-Clark In La Maison du guet : roman ; trad. de l'américain par Anne Damour.- Paris : Librairie Générale Française, 1993, p. 31, Le Livre de poche : 7516).

"Elle savait qu'une partie d'elle-même était encore figée, que son inconscient avait jeté un rideau protecteur sur les images douloureuses d'autrefois." (Mary Higgins-Clark In La Maison du guet : roman ; trad. de l'américain par Anne Damour.- Paris : Librairie Générale Française, 1993, p. 13, Le Livre de poche : 7516).

"Elle avait besoin d'un endroit où se cacher, où retrouver son identité, mettre de l'ordre dans ses idées, tenter de comprendre ce qui s'était passé, reprendre goût à la vie." (Mary Higgins-Clark In La Maison du guet : roman ; trad. de l'américain par Anne Damour.- Paris : Librairie Générale Française, 1993, p. 16, Le Livre de poche : 7516).

"La sérénité environnante avait accru la sensation de paix procurée par la longue nuit de sommeil sans rêve." (Mary Higgins-Clark In La Maison du guet : roman ; trad. de l'américain par Anne Damour.- Paris : Librairie Générale Française, 1993, p. 18, Le Livre de poche : 7516).

"Les chrysanthèmes jaunes et orange dans les jardinières offraient une note gaie et chaleureuse même les jours les plus mornes." (Mary Higgins-Clark In La Maison du guet : roman ; trad. de l'américain par Anne Damour.- Paris : Librairie Générale Française, 1993, p. 20, Le Livre de poche : 7516).

"Et s'il y avait un jour un autre procès, je veux que Nancy se sente en sécurité parmi les gens d'ici. Je veux qu'ils la considèrent comme une des leurs et qu'ils la soutiennent. Car après l'acquittement, elle devra revenir vivre normalement parmi eux. Nous le désirons tous." (Mary Higgins-Clark In La Maison du guet : roman ; trad. de l'américain par Anne Damour.- Paris : Librairie Générale Française, 1993, p. 27, Le Livre de poche : 7516).

"L'hiver s'installait. Il était là, derrière la maison, détachant les dernières feuilles mortes des arbres. Il se coulait dans le chemin en terre battue qui devenait dur comme du ciment. Il changeait les couleurs de la haie en un gris-bleu fumée." (Mary Higgins-Clark In La Maison du guet : roman ; trad. de l'américain par Anne Damour.- Paris : Librairie Générale Française, 1993, p. 35, Le Livre de poche : 7516).

"Elle fixa la surface du lac, s'efforçant de voir jusqu'au fond, se pencha plus bas et tomba. L'eau lui entra dans les narines et la bouche, lui brûla le visage et le cou." (Mary Higgins-Clark In La Maison du guet : roman ; trad. de l'américain par Anne Damour.- Paris : Librairie Générale Française, 1993, p. 38, Le Livre de poche : 7516).

"Elle entendait la peur vibrer dans sa voix. Elle essaya de lever la main, puis la sentit retomber mollement à son côté. Elle voulut parler, mais aucun son ne sortit de ses lèvres." (Mary Higgins-Clark In La Maison du guet : roman ; trad. de l'américain par Anne Damour.- Paris : Librairie Générale Française, 1993, p. 46, Le Livre de poche : 7516).

"Elle était montée dans le dernier car du soir pour Boston. La gare était presque vide et personne n'avait fait attention à elle : elle s'était sincèrement imaginé qu'elle pouvait s'échapper, recommencer à zéro. Mais quelqu'un avait attendu le moment de tout ramener à la surface." (Mary Higgins-Clark In La Maison du guet : roman ; trad. de l'américain par Anne Damour.- Paris : Librairie Générale Française, 1993, p. 47, Le Livre de poche : 7516).

"Elle se sentait terriblement lasse, engourdie. C'était la même sensation qu'elle avait éprouvée pendant de si longues années -depuis le soir où sa mère était morte... ou peut-être même avant... la sensation d'être sans défense, soumise... incapable de choisir, de bouger ou même de parler." (Mary Higgins-Clark In La Maison du guet : roman ; trad. de l'américain par Anne Damour.- Paris : Librairie Générale Française, 1993, p. 62, Le Livre de poche : 7516).

"Il avait de la classe, c'était indéniable. Une distinction naturelle émanait de sa façon de se tenir, de s'exprimer, de s'habiller, de bouger, des contours fermes de son menton et de sa bouche, de la main forte et bien dessinée posée légèrement sur le manteau de la cheminée." (Mary Higgins-Clark In La Maison du guet : roman ; trad. de l'américain par Anne Damour.- Paris : Librairie Générale Française, 1993, p. 80, Le Livre de poche : 7516).

"Ce type est l'être humain le plus lent à se remuer que j'aie jamais rencontré. Il traîne toujours dans le magasin comme s'il avait l'éternité devant lui." (Mary Higgins-Clark In La Maison du guet : roman ; trad. de l'américain par Anne Damour.- Paris : Librairie Générale Française, 1993, p. 124, Le Livre de poche : 7516).

"C'est juste quand on pense que la vie peut changer... si radicalement. D'un seul coup, toute une partie, la partie la plus importante... prend fin. Et cependant, je crois qu'après avoir connu quelque chose de merveilleux... un bonheur aussi parfait... Vous ne pouvez pas regarder en arrière avec regret." (Mary Higgins-Clark In La Maison du guet : roman ; trad. de l'américain par Anne Damour.- Paris : Librairie Générale Française, 1993, p. 126, Le Livre de poche : 7516).

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