Christophe ONO-DIT-BIOT (né en 1975) (18 citations).
"Des ondes d'amour me parvenaient de la cuisine. Car quelqu'un qui fait pour vous la cuisine vous veut forcément du bien." (Christophe Ono-Dit-Biot In Plonger, Folio, 2015, p. 96).
"C'est fou ce que l'argument professionnel rassure les gens quand leur conscience leur dit que ce qu'ils ont fait n'est pas bien" (In Plonger, Folio, 2015, p. 32).
"J'avais sous la main des trésors. Des livres dont l'éclat, lorsque je les ouvrais, me sautait au visage. Les titres seuls suffisaient à me mettre en joie." (In Plonger, Folio, 2015, p. 43).
"Je te rappelle seulement que dans le domaine de l'art, on aime toujours pour des motivations privées. Parce que les œuvres, qu'elles soient filmiques ou graphiques, remuent des choses en vous." (In Plonger, Folio, 2015, p. 59).
"Dans la vie, n'attends pas que le destin te prenne en charge. Le destin te regarde, il sera séduit s'il te voit entreprendre." (In Plonger, Folio, 2015, p. 70).
"Les gens n'avaient plus rien à se dire mais ils communiquaient. Sur Facebook, on trouvait des groupes de discussion "J'aime les frites" et "J'aime pas les Juifs" et c'était presque égal." (In Plonger, Folio, 2015, p. 73).
"Je ne crois pas en effet, que notre époque puisse se raconter sous la forme d'un roman. Il faut un minimum de narration, et ce monde-ci, toujours entrecoupé par la réception d'un SMS, d'un mail, ne raconte plus grand-chose dans la longueur. La seule chose qui y soit continue, c'est l'interruption." (In Plonger, Folio, 2015, p. 79).
"Mes photos sont des bulles de savon. Des moments. Et les moments ne durent pas..." (In Plonger, Folio, 2015, p. 84).
"Ecrire ce qu'on pense d'une oeuvre, ce qu'elle remue en vous, n'avait aucune portée universelle" (Christophe Ono-Dit-Biot In Plonger, Folio, 2015, p. 84).
"La liste étant devenue la forme littéraire suprême d'une époque droguée au pragmatisme où les gens n'avaient plus le temps de lire, les auteurs plus le temps de décrire." (In Plonger, Folio, 2015, p. 117).
"Un grand chapitre était prévu sur Venise, mais nous ne l'avons jamais écrit puisque c'est à Venise que notre couple a commencé à prendre l'eau." (In Plonger, Folio, 2015, p. 118).
"Ce que je voulais lui dire, c'est que la vie était trop courte pour qu'on veuille encore en abréger les moments de douceur, qui étaient rares." (In Plonger, Folio, 2015, p. 123).
"Elle passait d'un état émotionnel à un autre avec une rapidité confondante. Cela devait l'aider dans sa vie d'artiste, mais dans la vie conjugale, cela donnait au partenaire l'impression de s'initier au rodéo." (In Plonger, Folio, 2015, p. 127).
"Je me fous complètement de savoir ; je veux ressentir !" (In Plonger, Folio, 2015, p. 148).
"Les réseaux sociaux nous serinaient le mot "partage", nous faisant croire aux mirages d'un monde où tout serait mis en commun." (In Plonger, Folio, 2015, p. 208).
"Ce sont les algorithmes de Google qui déterminent ce qui est intéressant et ce qui ne l'est pas. Il n'y a plus de journalisme. Il n'y a que du suivisme." (In Plonger, Folio, 2015, p. 264).
"Jules continuait à croire en l'infinie protection des livres, à leur capacité à accroître l'horizon, fût-il obstrué par un écran de tours." (In Plonger, Folio, 2015, p. 335).
"La vérité, ça n'existe pas, comme tous les absolus qu'on n'atteint jamais." (In Plonger, Folio, 2015, p. 17).
"C'est fou ce que l'argument professionnel rassure les gens quand leur conscience leur dit que ce qu'ils ont fait n'est pas bien" (In Plonger, Folio, 2015, p. 32).
"J'avais sous la main des trésors. Des livres dont l'éclat, lorsque je les ouvrais, me sautait au visage. Les titres seuls suffisaient à me mettre en joie." (In Plonger, Folio, 2015, p. 43).
"Je te rappelle seulement que dans le domaine de l'art, on aime toujours pour des motivations privées. Parce que les œuvres, qu'elles soient filmiques ou graphiques, remuent des choses en vous." (In Plonger, Folio, 2015, p. 59).
"Dans la vie, n'attends pas que le destin te prenne en charge. Le destin te regarde, il sera séduit s'il te voit entreprendre." (In Plonger, Folio, 2015, p. 70).
"Les gens n'avaient plus rien à se dire mais ils communiquaient. Sur Facebook, on trouvait des groupes de discussion "J'aime les frites" et "J'aime pas les Juifs" et c'était presque égal." (In Plonger, Folio, 2015, p. 73).
"Je ne crois pas en effet, que notre époque puisse se raconter sous la forme d'un roman. Il faut un minimum de narration, et ce monde-ci, toujours entrecoupé par la réception d'un SMS, d'un mail, ne raconte plus grand-chose dans la longueur. La seule chose qui y soit continue, c'est l'interruption." (In Plonger, Folio, 2015, p. 79).
"Mes photos sont des bulles de savon. Des moments. Et les moments ne durent pas..." (In Plonger, Folio, 2015, p. 84).
"Ecrire ce qu'on pense d'une oeuvre, ce qu'elle remue en vous, n'avait aucune portée universelle" (Christophe Ono-Dit-Biot In Plonger, Folio, 2015, p. 84).
"La liste étant devenue la forme littéraire suprême d'une époque droguée au pragmatisme où les gens n'avaient plus le temps de lire, les auteurs plus le temps de décrire." (In Plonger, Folio, 2015, p. 117).
"Un grand chapitre était prévu sur Venise, mais nous ne l'avons jamais écrit puisque c'est à Venise que notre couple a commencé à prendre l'eau." (In Plonger, Folio, 2015, p. 118).
"Ce que je voulais lui dire, c'est que la vie était trop courte pour qu'on veuille encore en abréger les moments de douceur, qui étaient rares." (In Plonger, Folio, 2015, p. 123).
"Elle passait d'un état émotionnel à un autre avec une rapidité confondante. Cela devait l'aider dans sa vie d'artiste, mais dans la vie conjugale, cela donnait au partenaire l'impression de s'initier au rodéo." (In Plonger, Folio, 2015, p. 127).
"Je me fous complètement de savoir ; je veux ressentir !" (In Plonger, Folio, 2015, p. 148).
"Les réseaux sociaux nous serinaient le mot "partage", nous faisant croire aux mirages d'un monde où tout serait mis en commun." (In Plonger, Folio, 2015, p. 208).
"Ce sont les algorithmes de Google qui déterminent ce qui est intéressant et ce qui ne l'est pas. Il n'y a plus de journalisme. Il n'y a que du suivisme." (In Plonger, Folio, 2015, p. 264).
"Jules continuait à croire en l'infinie protection des livres, à leur capacité à accroître l'horizon, fût-il obstrué par un écran de tours." (In Plonger, Folio, 2015, p. 335).
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