Maria ERNESTAM (née en 1959) (9 citations).
"La serrant contre lui aussi fort qu'il le pouvait, il se dit que la vie était une voie sans issue. Il aurait fallu pouvoir rebrousser chemin pour trouver le bonheur." (Maria Ernestam In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 252, Babel n° 1346).
"Anna avait fini par comprendre que ce que sa fille attendait d'elle, c'était un peu de retenue, chose dont elle était incapable." (In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 84, Babel n° 1346).
"Tu sais très bien qu'en ce qui me concerne, tu peux vivre ta vie comme tu l'entends, du moment que tu es heureuse. C'est ma façon de voir les choses, et je ne pense pas qu'elle soit mauvaise. Tant que les gens sont respectueux les uns des autres et ne vivent pas aux dépens de leur entourage, on n'a pas à les juger." (In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 89, Babel n° 1346).
"Tant que son père hurlait, il n'était pas dangereux. Il ne contrôlait pas son agressivité. Sa violence n'en était que plus facile à parer. Quand la punition tombait, elle n'atteignait pas son but avec la précision, diabolique que conférait le calcul. Mais justement, cette fois-ci, son père prenait tout son temps. L'enfant n'avait manifestement pas compris la gravité de sa faute. Il serait puni. Avec calme et précision." (Maria Ernestam In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 119, Babel n° 1346).
"Je crois en mon instinct. Il m'a toujours guidée. Dans la vie, je m'en suis sortie sans me soucier de l'opinion des autres." (In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 147, Babel n° 1346).
"Son visage répandait une lumière dont elle ne distinguait pas la source. Elle devinait seulement que l'homme assis près d'elle était d'une rare honnêteté. Il semblait indifférent au jeu de cache-cache qui caractérise si souvent les relations humaines." (In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 162, Babel n° 1346).
"J'ai été trop exigeante, et quand on est trop exigeant, on finit toujours par perdre ce qu'on désire." (In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 181, Babel n° 1346).
"Pendant ses périodes de dépression, il me réduisait en lambeaux. Il me brisait, il anéantissait ma confiance en moi, il fracassait ma joie de vivre et me poignardait dans le dos, coup sur coup." (In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 183, Babel n° 1346).
"Seules les pensées comptaient. Celles que l'on devait si souvent dissimuler pour coller à son rôle." (In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 231, Babel n° 1346).
"Anna avait fini par comprendre que ce que sa fille attendait d'elle, c'était un peu de retenue, chose dont elle était incapable." (In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 84, Babel n° 1346).
"Tu sais très bien qu'en ce qui me concerne, tu peux vivre ta vie comme tu l'entends, du moment que tu es heureuse. C'est ma façon de voir les choses, et je ne pense pas qu'elle soit mauvaise. Tant que les gens sont respectueux les uns des autres et ne vivent pas aux dépens de leur entourage, on n'a pas à les juger." (In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 89, Babel n° 1346).
"Tant que son père hurlait, il n'était pas dangereux. Il ne contrôlait pas son agressivité. Sa violence n'en était que plus facile à parer. Quand la punition tombait, elle n'atteignait pas son but avec la précision, diabolique que conférait le calcul. Mais justement, cette fois-ci, son père prenait tout son temps. L'enfant n'avait manifestement pas compris la gravité de sa faute. Il serait puni. Avec calme et précision." (Maria Ernestam In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 119, Babel n° 1346).
"Je crois en mon instinct. Il m'a toujours guidée. Dans la vie, je m'en suis sortie sans me soucier de l'opinion des autres." (In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 147, Babel n° 1346).
"Son visage répandait une lumière dont elle ne distinguait pas la source. Elle devinait seulement que l'homme assis près d'elle était d'une rare honnêteté. Il semblait indifférent au jeu de cache-cache qui caractérise si souvent les relations humaines." (In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 162, Babel n° 1346).
"J'ai été trop exigeante, et quand on est trop exigeant, on finit toujours par perdre ce qu'on désire." (In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 181, Babel n° 1346).
"Pendant ses périodes de dépression, il me réduisait en lambeaux. Il me brisait, il anéantissait ma confiance en moi, il fracassait ma joie de vivre et me poignardait dans le dos, coup sur coup." (In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 183, Babel n° 1346).
"Seules les pensées comptaient. Celles que l'on devait si souvent dissimuler pour coller à son rôle." (In Le peigne de Cléopâtre. Arles : Actes Sud, 2015, p. 231, Babel n° 1346).
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