Pierre LEMAITRE (né en 1951) (39 citations).
Conseils de lecture des romans de Pierre Lemaitre : Trois jours et une vie.
"Mehmet Pehlivan. C'est un Turc. Il est en France depuis dix ans, mais il a moins de vocabulaire qu'un enfant de dix ans. Il n'a que deux manières de s'exprimer : il gueule ou il fait la gueule." (Pierre Lemaitre In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 13)."Alex était ravissante. Du coup, comme personne ne s'y attendait plus, à cette grâce soudaine, à commencer par elle, elle n'est jamais parvenue à y croire réellement. Aujourd'hui encore." (Pierre Lemaitre In Alex : la trilogie Verhoeven, 2.- Paris : Alin Michel, 2011, p. 11, Le livre de poche : 32580).
"Vivre avec un dépressif, c'est ce qu'il y a de plus difficile. En dehors d'être dépressif soi-même, évidemment." (In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 24).
"Je ne sais pas comment il fait, il doit boire en dormant : il n'est pas 5 heures du matin, son haleine est déjà chargée comme un cargo." (In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 67).
"On connaît le principe : le marketing consiste à vendre des choses à des gens qui n'en veulent pas, le management, à maintenir opérationnels des cadres qui n'en peuvent plus." (In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 74).
"La vie dans son entreprise est une vie douillette. Nicole, le bienheureuse, ne saura jamais jusqu'où il faut aller pour survivre dans un domaine industriel. Concurrentiel." (Pierre Lemaitre In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 75).
"Il se ferait tuer sur place plutôt que de céder quelque chose qui, en fait, n'a aucune importance." (Pierre Lemaitre In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 87).
"Dès que les gens portent leur morale en bannière, on peut être certain qu'il y a de l'inavouable planqué sous le tapis." (In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 143).
"La principale différence est qu'en entreprise les cadres vivent dans une peur larvée, alors que dans la prise d'otages, les victimes risquent ouvertement leur vie. Quoique. En entreprise aussi. Finalement, la seule véritable différence, c'est la nature des armes et le délai d'incubation." (In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 157).
"Parfois, il faudrait préparer une entrevue avec ses enfants comme un entretien professionnel." (In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 159).
"Dans la vie, il faut aussi avoir de la chance. Ayant eu ma dose de poisse depuis quelques années, je pense raisonnablement que mon tour est venu d'avoir un sort favorable." (In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 168).
"C'est un peu l'habitude chez les gens qui ont bien réussi dans la vie : ils ne doutent jamais d'eux, ils pensent toujours qu'ils parviendront à surmonter les difficultés. Ils se sentent invulnérables." Pierre Lemaitre In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 184).
"Il marche avec un air avantageux, la poitrine en avant. On sent l'homme que le doute n'envahit pas tous les jours." (Pierre Lemaitre In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 193).
"La tension, c'est une sorte de fil que chacun porte en soi, dont on ne connaît pas réellement le niveau de résistance." (In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, pp. 234-235).
"Il se ferait tuer sur place plutôt que de céder quelque chose qui, en fait, n'a aucune importance." (Pierre Lemaitre In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 87).
"Dès que les gens portent leur morale en bannière, on peut être certain qu'il y a de l'inavouable planqué sous le tapis." (In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 143).
"La principale différence est qu'en entreprise les cadres vivent dans une peur larvée, alors que dans la prise d'otages, les victimes risquent ouvertement leur vie. Quoique. En entreprise aussi. Finalement, la seule véritable différence, c'est la nature des armes et le délai d'incubation." (In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 157).
"Parfois, il faudrait préparer une entrevue avec ses enfants comme un entretien professionnel." (In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 159).
"Dans la vie, il faut aussi avoir de la chance. Ayant eu ma dose de poisse depuis quelques années, je pense raisonnablement que mon tour est venu d'avoir un sort favorable." (In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 168).
"Les larmes montent et montent encore. C'est le premier grand bonheur depuis longtemps de pouvoir pleurer à ce point. La seule chose d'absolument vraie. Sanglots de désarroi, je suis anéanti. Inconsolable." (Pierre Lemaitre In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 175).
"C'est un peu l'habitude chez les gens qui ont bien réussi dans la vie : ils ne doutent jamais d'eux, ils pensent toujours qu'ils parviendront à surmonter les difficultés. Ils se sentent invulnérables." Pierre Lemaitre In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 184).
"Il marche avec un air avantageux, la poitrine en avant. On sent l'homme que le doute n'envahit pas tous les jours." (Pierre Lemaitre In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 193).
"La tension, c'est une sorte de fil que chacun porte en soi, dont on ne connaît pas réellement le niveau de résistance." (In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, pp. 234-235).
"Mon histoire est plus médiatique que la sienne, parce que les gens qui peuvent s'identifier à un chômeur qui pète les plombs sont beaucoup plus nombreux que ceux qui ont des affinités avec un patron qui détourne six fois le montant de ses stock-options." (Pierre Lemaitre In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 272).
"La maison d'arrêt porte bien son nom. Ici, hormis les trafics en tous genres, toute la vie s'arrête, ou à peu près." (Pierre Lemaitre In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 276).
"La maison d'arrêt porte bien son nom. Ici, hormis les trafics en tous genres, toute la vie s'arrête, ou à peu près." (Pierre Lemaitre In Cadres noirs : roman. Paris : Librairie Générale Française, 03/2011, Le Livre de Poche, p. 276).
"Un gars du genre impatient, qui n'avait pas de vitesse de croisière : il accélérait ou il freinait ; entre les deux, rien." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 15, Le Livre de Poche : 33655).
"Savoir qu'on ne risque rien, que tout s'arrangera, ça désinhibe. On peut dire tout ce qu'on veut, comme on veut. En plus, ça rassure : plus on se met en danger, plus on mesure ses protections." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 66, Le Livre de Poche : 33655).
"En esprit petit, il éprouvait autant de satisfaction à réussir lui-même qu'à voir échouer les autres." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 153, Le Livre de Poche : 33655).
"Avant-guerre, elle les avait démasqués de loin, les petits ambitieux qui la trouvaient banale vue de face, mais très jolie vue de dot." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 174, Le Livre de Poche : 33655).
"Il ne l'avait jamais confessé à personne : la naissance de sa fille avait été une grande déception. Il estimait normal qu'un homme désire un fils." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 204, Le Livre de Poche : 33655).
"Humainement, il ne comprenait rien à rien. Le gardien du cimetière avait perdu le bras droit. En le croisant, M. Péricourt pensa : Moi, je suis un invalide du cœur." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 210, Le Livre de Poche : 33655).
"Devant des conseils d'administration, M. Péricourt pouvait, d'un mouvement de cils, couper la parole à n'importe qui. Devant sa fille, il n'arrivait pas seulement à terminer ses phrases." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 221, Le Livre de Poche : 33655).
"On aurait dit qu'il laissait filer l'existence comme le sang d'une blessure." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 230, Le Livre de Poche : 33655).
"Sa fille, Louise, était très débrouillarde. Onze ans, des yeux de chat, des taches de rousseur à ne savoir qu'en faire. Et surprenante. Parfois vive comme de l'eau de roche, l'instant d'après contemplative, figée comme une gravure." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, pp. 240-241, Le Livre de Poche : 33655).
"Le silence qui avait suivi s'était étiré, comme un élastique près de craquer." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 386, Le Livre de Poche : 33655).
"Toute l'histoire doit trouver sa fin, c'est dans l'ordre de la vie. Même tragique, même insupportable, même dérisoire, il faut une fin à tout [...]." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 507, Le Livre de Poche : 33655).
"Edouard se détailla. Il n'était plus bouleversé, on s'habitue à tout, mais sa tristesse, elle, restait intacte, la faille qui s'était ouverte en lui n'avait fait, au fil du temps, que s'agrandir, s'agrandir encore et toujours. Il avait trop aimé la vie, voilà le problème. A ceux qui n'y tenaient pas autant, les choses devaient paraître plus simple, tandis qu'à lui..." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 507, Le Livre de Poche : 33655).
"Elle parlait d'une voix aiguë et articulait chaque syllabe comme s'il s'agissait de la dernière, ce qui donnait à sa conversation un ton haché et peremptoire qui en impressionnait plus d'un." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 94).
"Entendre le téléviseur du salon troublait Antoine. L'allumer ainsi en pleine journée n'était pas dans les usages de Mme Courtin, on pourrait même dire que ça n'était pas dans ses valeurs. Les écrans, ça rend idiot." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 142).
"La vie doit toujours reprendre le dessus, elle adorait cette expression. Cela signifiait que la vie devait continuer de couler, non pas telle qu'elle était mais telle qu'on la désirait." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 150).
"Beauval, c'était un peu ça, une ville où les enfants ressemblaient à leurs parents et attendaient de prendre leur place." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 195).
"Il y avait entre eux autant de non-dits que de souvenirs." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 197).
"L'humanitaire, c'est bien. On lisait sur son visage que c'était un concept vide de sens, juste un mot, mais dont la connotation morale méritait le respect." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 197).
"Savoir qu'on ne risque rien, que tout s'arrangera, ça désinhibe. On peut dire tout ce qu'on veut, comme on veut. En plus, ça rassure : plus on se met en danger, plus on mesure ses protections." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 66, Le Livre de Poche : 33655).
"En esprit petit, il éprouvait autant de satisfaction à réussir lui-même qu'à voir échouer les autres." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 153, Le Livre de Poche : 33655).
"Avant-guerre, elle les avait démasqués de loin, les petits ambitieux qui la trouvaient banale vue de face, mais très jolie vue de dot." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 174, Le Livre de Poche : 33655).
"Il ne l'avait jamais confessé à personne : la naissance de sa fille avait été une grande déception. Il estimait normal qu'un homme désire un fils." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 204, Le Livre de Poche : 33655).
"Humainement, il ne comprenait rien à rien. Le gardien du cimetière avait perdu le bras droit. En le croisant, M. Péricourt pensa : Moi, je suis un invalide du cœur." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 210, Le Livre de Poche : 33655).
"Devant des conseils d'administration, M. Péricourt pouvait, d'un mouvement de cils, couper la parole à n'importe qui. Devant sa fille, il n'arrivait pas seulement à terminer ses phrases." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 221, Le Livre de Poche : 33655).
"On aurait dit qu'il laissait filer l'existence comme le sang d'une blessure." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 230, Le Livre de Poche : 33655).
"Sa fille, Louise, était très débrouillarde. Onze ans, des yeux de chat, des taches de rousseur à ne savoir qu'en faire. Et surprenante. Parfois vive comme de l'eau de roche, l'instant d'après contemplative, figée comme une gravure." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, pp. 240-241, Le Livre de Poche : 33655).
"Le silence qui avait suivi s'était étiré, comme un élastique près de craquer." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 386, Le Livre de Poche : 33655).
"Edouard retirait alors brusquement son masque et exhibait son visage, ce trou béant et monstrueux au-dessus duquel le regard, seule trace vivante et humaine, vous fixait avec intensité." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 449, Le Livre de Poche : 33655).
"Toute l'histoire doit trouver sa fin, c'est dans l'ordre de la vie. Même tragique, même insupportable, même dérisoire, il faut une fin à tout [...]." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 507, Le Livre de Poche : 33655).
"Edouard se détailla. Il n'était plus bouleversé, on s'habitue à tout, mais sa tristesse, elle, restait intacte, la faille qui s'était ouverte en lui n'avait fait, au fil du temps, que s'agrandir, s'agrandir encore et toujours. Il avait trop aimé la vie, voilà le problème. A ceux qui n'y tenaient pas autant, les choses devaient paraître plus simple, tandis qu'à lui..." (In Au revoir là-haut : roman. Paris : Albin Michel, 2013, p. 507, Le Livre de Poche : 33655).
"Elle parlait d'une voix aiguë et articulait chaque syllabe comme s'il s'agissait de la dernière, ce qui donnait à sa conversation un ton haché et peremptoire qui en impressionnait plus d'un." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 94).
"Entendre le téléviseur du salon troublait Antoine. L'allumer ainsi en pleine journée n'était pas dans les usages de Mme Courtin, on pourrait même dire que ça n'était pas dans ses valeurs. Les écrans, ça rend idiot." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 142).
"La vie doit toujours reprendre le dessus, elle adorait cette expression. Cela signifiait que la vie devait continuer de couler, non pas telle qu'elle était mais telle qu'on la désirait." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 150).
"Beauval, c'était un peu ça, une ville où les enfants ressemblaient à leurs parents et attendaient de prendre leur place." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 195).
"Il y avait entre eux autant de non-dits que de souvenirs." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 197).
"L'humanitaire, c'est bien. On lisait sur son visage que c'était un concept vide de sens, juste un mot, mais dont la connotation morale méritait le respect." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 197).
"Il y avait quelque chose de douloureux à constater qu'une jeune femme si délicieuse, si sexy, puisse être aussi franchement sotte. Elle s'exprimait à l'aide de généralités, d'idées qui, comme elles lui arrivaient toutes faites et prêtes à l'emploi, n'avaient quasiment pas besoin de passer par sa tête." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 201).
"Lorsqu'il la regardait à la dérobée, à table, dans la cuisine, il avait le coeur serré de voir ce gâchis : une beauté mélancolique dans la tête de laquelle il ne se passait rien." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 265).
"Emilie était une mère triomphante. Elle avait porté son ventre très en avant, bien visible, comme un signe extérieur de richesse [...]." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 266).
"Lorsqu'il la regardait à la dérobée, à table, dans la cuisine, il avait le coeur serré de voir ce gâchis : une beauté mélancolique dans la tête de laquelle il ne se passait rien." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 265).
"Emilie était une mère triomphante. Elle avait porté son ventre très en avant, bien visible, comme un signe extérieur de richesse [...]." (In Trois jours et une vie. Paris : Albin Michel, 02/2016, p. 266).
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