Henri LOEVENBRUCK (né en 1972) (10 citations).
(c) Photo : http://www.henriloevenbruck.com/
Article mis à jour le : 11/09/2019.
"Dans ces lettres, on se disait des choses qu'on prend jamais le temps de se dire dans la vie, et on a fini par se construire un monde à nous, avec des mots à nous, parfois c'était un peu n'importe quoi, comme des paroles de chansons qu'on s'écrivait, des codes qui voulaient dire qu'on s'aimait comme seuls peuvent s'aimer les adolescents, avec toute la pureté et la violence de l'âge [...]." (Henri Loevenbruck In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, pp. 119-120).
"Je m'en faisais une belle image, moi, de la liberté. Un truc sacré, presque, un truc dont on fait des statues." (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 11).
"Plus jamais on a reparlé tous les quatre comme on a parlé ce soir-là, et les jours d'après, c'est tout juste si on n'avait pas un peu honte de l'avoir fait, mais aujourd'hui, quand j'y repense, c'était un des plus beaux moments de notre amitié." (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 99).
"Moi, tout ce que je sais, c'est que quand on sortait du centre de détention pour mineurs de Sainte-Catherine, soit on était cassé à vie et plus bon à rien, soit on était encore pire qu'avant et tout endurci du dedans à cause de la haine." (Henri Loevenbruck In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 125).
"C'est tellement triste quand le bonheur s'arrête que je suis pas sûr qu'il vaille le coup." (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 170).
"Dans la vie, je crois qu'il vaut mieux montrer ses vrais défauts que ses fausses qualités." (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 241).
"C'est sûr, les gens pourraient pas comprendre. Ils pourraient pas, parce que, contrairement à ce que disait Sam, il n'y avait rien à comprendre. On faisait juste ce qu'on voulait. On rêvait juste de liberté." (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 275).
"Le Chinois, il avait un genre de tic nerveux qu'il faisait tout le temps quand il était un peu mal à l'aise : il se tirait la lèvre du bas, entre le pouce et l'index. Bon sang, il tirait dessus comme si c'était un foutu store !" (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 294).
"Il avait cette espèce de sérénité en lui qui me disait qu'il ne ferait jamais de mal à personne, que son amitié s'abîmerait jamais, parce qu'il n'avait rien à perdre ou à gagner." (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 392).
"C'est toi qui me l'as prouvé. La liberté, elle existe. Elle coûte drôlement cher, mais elle existe." (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 420).
"Je m'en faisais une belle image, moi, de la liberté. Un truc sacré, presque, un truc dont on fait des statues." (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 11).
"Plus jamais on a reparlé tous les quatre comme on a parlé ce soir-là, et les jours d'après, c'est tout juste si on n'avait pas un peu honte de l'avoir fait, mais aujourd'hui, quand j'y repense, c'était un des plus beaux moments de notre amitié." (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 99).
"Moi, tout ce que je sais, c'est que quand on sortait du centre de détention pour mineurs de Sainte-Catherine, soit on était cassé à vie et plus bon à rien, soit on était encore pire qu'avant et tout endurci du dedans à cause de la haine." (Henri Loevenbruck In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 125).
"C'est tellement triste quand le bonheur s'arrête que je suis pas sûr qu'il vaille le coup." (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 170).
"Dans la vie, je crois qu'il vaut mieux montrer ses vrais défauts que ses fausses qualités." (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 241).
"C'est sûr, les gens pourraient pas comprendre. Ils pourraient pas, parce que, contrairement à ce que disait Sam, il n'y avait rien à comprendre. On faisait juste ce qu'on voulait. On rêvait juste de liberté." (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 275).
"Le Chinois, il avait un genre de tic nerveux qu'il faisait tout le temps quand il était un peu mal à l'aise : il se tirait la lèvre du bas, entre le pouce et l'index. Bon sang, il tirait dessus comme si c'était un foutu store !" (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 294).
"Il avait cette espèce de sérénité en lui qui me disait qu'il ne ferait jamais de mal à personne, que son amitié s'abîmerait jamais, parce qu'il n'avait rien à perdre ou à gagner." (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 392).
"C'est toi qui me l'as prouvé. La liberté, elle existe. Elle coûte drôlement cher, mais elle existe." (In Nous rêvions juste de liberté : roman. Paris : Flammarion, 2015, p. 420).
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