René BARJAVEL (1911 - 1985) (8 citations).
"Je n'y parviendrai peut-être jamais, mais jusqu'à mon dernier souffle, je chercherai à comprendre. Comprendre où je suis et ce que j'y fais, et à quoi ça rime." (Barjavel In La faim du tigre. Paris : Gallimard, 06/2015, Folio : 847, p. 84).
"L'amour est l'oubli de soi. Il n'a pas besoin d'être partagé, car il ne désire que donner." (In La faim du tigre. Paris : Gallimard, 06/2015, Folio : 847, p. 43).
"Plus ou moins lentement vont disparaître cette joie de se retrouver, cette lumière qui s'établissait au moindre contact, ce champ magnétique qui séparait le couple de la réalité et l'enveloppait d'un arc-en-ciel. Chacun va découvrir l'autre, le voir enfin tel qu'il est et non tel qu'il l'imaginait." (In La faim du tigre. Paris : Gallimard, 06/2015, Folio : 847, p. 48).
"Le monde est ce qu'il est, architecture tourbillonnante de forces dans l'immensité du vide, mais il est aussi tel qu'il m'apparaît, il est ce que je sens, je vois, je touche, ce que je prends de lui, ce qui de lui me heurte." (In La faim du tigre. Paris : Gallimard, 06/2015, Folio : 847, p. 71).
"Notre vie est courte. Une étincelle." (In La faim du tigre. Paris : Gallimard, 06/2015, Folio : 847, p. 83).
"Et bien, qu'on m'excuse, tant que j'aurai un souffle de vie, je chercherai à en savoir plus long, même si tous mes désirs et tous mes efforts ne me font pas grimper d'un échelon." (In La faim du tigre. Paris : Gallimard, 06/2015, Folio : 847, p. 88).
"Nous sommes entourés de miracles auxquels nous sommes habitués. Nous vivons par miracles, tout le vivant est miraculeux dans ses moindres détails, mais nous sommes si accoutumés au merveilleux quotidien qu'il a perdu tout pouvoir de nous émerveiller." (In La faim du tigre. Paris : Gallimard, 06/2015, Folio : 847, p. 90).
"Jamais je ne m'habituerai au printemps. Année après année, il me surprend et m'émerveille. L'âge n'y peut rien, ni l'accumulation des doutes et des amertumes. Dès que le marronnier allume ses cierges et met ses oiseaux à chanter, mon coeur gonfle à l'image des bourgeons." (In La faim du tigre. Paris : Gallimard, 06/2015, Folio : 847, 1ère phrase, p. 11).
"L'amour est l'oubli de soi. Il n'a pas besoin d'être partagé, car il ne désire que donner." (In La faim du tigre. Paris : Gallimard, 06/2015, Folio : 847, p. 43).
"Plus ou moins lentement vont disparaître cette joie de se retrouver, cette lumière qui s'établissait au moindre contact, ce champ magnétique qui séparait le couple de la réalité et l'enveloppait d'un arc-en-ciel. Chacun va découvrir l'autre, le voir enfin tel qu'il est et non tel qu'il l'imaginait." (In La faim du tigre. Paris : Gallimard, 06/2015, Folio : 847, p. 48).
"Le monde est ce qu'il est, architecture tourbillonnante de forces dans l'immensité du vide, mais il est aussi tel qu'il m'apparaît, il est ce que je sens, je vois, je touche, ce que je prends de lui, ce qui de lui me heurte." (In La faim du tigre. Paris : Gallimard, 06/2015, Folio : 847, p. 71).
"Notre vie est courte. Une étincelle." (In La faim du tigre. Paris : Gallimard, 06/2015, Folio : 847, p. 83).
"Nous sommes entourés de miracles auxquels nous sommes habitués. Nous vivons par miracles, tout le vivant est miraculeux dans ses moindres détails, mais nous sommes si accoutumés au merveilleux quotidien qu'il a perdu tout pouvoir de nous émerveiller." (In La faim du tigre. Paris : Gallimard, 06/2015, Folio : 847, p. 90).
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