Virginie GRIMALDI (Née en 1977) (27 Citations)
Citations de Virginie Grimaldi. Article publié le 02/02/2018 à 21h41 et mis le jour le 27/05/2024 à 9h25.
"Il ne lâche jamais ses écrans, à part pour râler ou se plaindre. Je lui cherche des qualités depuis deux ans, sans succès." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 31, Le livre de poche : 34531).
"Son cœur, Marie compte bien le garder pour elle. La dernière fois qu'elle l'a confié à quelqu'un, il le lui a rendu en mauvais état. Elle en a déduit que les gens ne faisaient pas attention à ce qui ne leur appartenait pas et l'a mis à l'abri dans du papier bulle." (Virginie Grimaldi In Le premier jour du reste de ma vie... City Editions, 2015, p. 18).
"A la naissance de Lily et Justine, Rodolphe a proposé à Marie de se consacrer à leur famille. Les premières années, elle l'a fait avec bonheur. Voir ses filles grandir était une chance qu'elle savourait ; elle avait conscience d'être privilégiée. Lorsqu'elles sont rentrées à l'école, l'ennui s'est incrusté dans le quotidien. Marie a commencé à regarder les offres d'emploi dans les journaux, à se renseigner sur la reprise d'études. Rodolphe n'y tenait pas et s'est employé à la plier à son avis." (Virginie Grimaldi In Le premier jour du reste de ma vie... City Editions, 2015, p. 22).
"Je l'ai suivi des yeux jusqu'au bout de la rue en priant pour qu'il fasse demi-tour. Mais il est devenu de plus en plus petit et a disparu..." (Virginie Grimaldi In Le premier jour du reste de ma vie... City Editions, 2015, p. 32).
"Chaque fois qu'elle lui a fait part de son envie de changer de tête, Rodolphe s'y est opposé : le roux, c'était pour les femmes qui voulaient se faire remarquer. Sa couleur lui allait très bien. Ce n'était pas faux. Son châtain terne collait parfaitement à son caractère transparent. Il est temps que ça change." (Virginie Grimaldi In Le premier jour du reste de ma vie... City Editions, 2015, p. 49).
"[...] Quelles que soient les difficultés, ça ne lui fait pas peur. Ça ne pourra pas être pire que de se sentir transparente, inutile et méprisée par l'homme qu'on a choisi pour traverser la vie avec soi ." (Virginie Grimaldi In Le premier jour du reste de ma vie... City Editions, 2015, p. 121).
"Isabelle mérite la deuxième partie de son prénom. Elle a de longs cils noirs plantés sur des yeux verts et un sourire que même les caries ne doivent pas oser attaquer." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 18, Le livre de poche : 34531).
"Lorsque j'ai décroché, j'ai entendu le silence. Ce n'est jamais bon signe, quand le silence nous parle au téléphone." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 22, Le livre de poche : 34531).
"Je sursaute à chaque fois que je croise quelqu'un sans m'y attendre, descendre des pistes bleues en chasse-neige s'apparente à un sport extrême et je me transforme en sirène de pompier dès qu'un chien m'approche." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 32, Le livre de poche : 34531).
"Perdre ses souvenirs lorsqu'ils sont matériels, c'est déjà douloureux. Mais cela n'a rien de comparable avec ce que j'ai ressenti lorsqu'on m'a annoncé que quarante années avaient disparu de ma mémoire." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 38, Le livre de poche : 34531).
"Je sursaute à chaque fois que je croise quelqu'un sans m'y attendre, descendre des pistes bleues en chasse-neige s'apparente à un sport extrême et je me transforme en sirène de pompier dès qu'un chien m'approche." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 32, Le livre de poche : 34531).
"Perdre ses souvenirs lorsqu'ils sont matériels, c'est déjà douloureux. Mais cela n'a rien de comparable avec ce que j'ai ressenti lorsqu'on m'a annoncé que quarante années avaient disparu de ma mémoire." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 38, Le livre de poche : 34531).
"J'ai l'impression d'être un petit bout de papier plié en huit, qu'il faut déplier avec soin sous peine de le déchirer." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 40, Le livre de poche : 34531).
"Ce midi, c'est saucisses-purée. Le menu s'affiche en grosses lettres sur le tableau, comme s'il avait de quoi être fier de lui." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 41, Le livre de poche : 34531).
"Le bistouri est visiblement passé par là, dommage qu'il n'existe aucune opération capable de faire disparaître l'aigreur." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 50, Le livre de poche : 34531).
"Ce midi, c'est saucisses-purée. Le menu s'affiche en grosses lettres sur le tableau, comme s'il avait de quoi être fier de lui." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 41, Le livre de poche : 34531).
"Le bistouri est visiblement passé par là, dommage qu'il n'existe aucune opération capable de faire disparaître l'aigreur." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 50, Le livre de poche : 34531).
"C'est simple : si on propose à un enfant de jouer avec des cailloux et des bouts de bois, il est à la limite de l'hystérie ; si on propose à un adulte d'aller passer une semaine dans un hôtel aux
Seychelles, il demande si les boissons sont incluses." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 64, Le livre de poche : 34531).
Seychelles, il demande si les boissons sont incluses." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 64, Le livre de poche : 34531).
"Ma respiration s'est brusquement coupée, mon cœur est tombé tout en bas de mon ventre et mon sang s'est dirigé dans mes joues." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 93, Le livre de poche : 34531).
"Lorsqu'une personne meurt, ils ne la mentionnent plus devant ses proches, ils deviennent doués dans l'art de trouver nombre de sujets de conversation qui n'ont aucun lien avec le disparu. Par peur de faire mal, sans doute. Comme si on attendait de l'évoquer pour souffrir." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 93, Le livre de poche : 34531).
"Certains disent que la vieillesse est un naufrage, moi je pense que c'est une chance. Un honneur. Tout le monde n'y a pas accès." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 97, Le livre de poche : 34531).
"Je l'ai serrée fort, fort, fort, j'aurais voulu mettre des pansements sur son cœur, trouver le remède à ses larmes, mais certains bobos sont plus forts que les bisous magiques." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 111, Le livre de poche : 34531).
"Plusieurs cloisons ont été abattues pour "crée une grande pièce à vivre et faire entrer la lumière", on dirait qu'un obus s'est écrasé ici." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 122, Le livre de poche : 34531).
"Je croyais qu'on pouvait décider de ne plus aimer, comme on peut décider de ne plus manger de sucre. J'ai fait un régime de lui. Je le suis sevrée de ses mots, j'ai résisté à ses souvenirs, je me suis tenue loin de sa voix. Et me voilà, face à lui, prête à plonger de nouveau." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 137, Le livre de poche : 34531).
"Lorsqu'une personne meurt, ils ne la mentionnent plus devant ses proches, ils deviennent doués dans l'art de trouver nombre de sujets de conversation qui n'ont aucun lien avec le disparu. Par peur de faire mal, sans doute. Comme si on attendait de l'évoquer pour souffrir." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 93, Le livre de poche : 34531).
"Certains disent que la vieillesse est un naufrage, moi je pense que c'est une chance. Un honneur. Tout le monde n'y a pas accès." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 97, Le livre de poche : 34531).
"Je l'ai serrée fort, fort, fort, j'aurais voulu mettre des pansements sur son cœur, trouver le remède à ses larmes, mais certains bobos sont plus forts que les bisous magiques." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 111, Le livre de poche : 34531).
"Plusieurs cloisons ont été abattues pour "crée une grande pièce à vivre et faire entrer la lumière", on dirait qu'un obus s'est écrasé ici." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 122, Le livre de poche : 34531).
"Je croyais qu'on pouvait décider de ne plus aimer, comme on peut décider de ne plus manger de sucre. J'ai fait un régime de lui. Je le suis sevrée de ses mots, j'ai résisté à ses souvenirs, je me suis tenue loin de sa voix. Et me voilà, face à lui, prête à plonger de nouveau." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 137, Le livre de poche : 34531).
"On devrait pouvoir transférer nos souvenirs sur une clé USB." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 159, Le livre de poche : 34531).
"Perdre un parent, c'est perdre son enfance." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 192, Le livre de poche : 34531).
"J'ai quitté mon malheur en espérant qu'il ne me suivrait pas." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 214, Le livre de poche : 34531).
"Pendant des mois, j'ai enfermé mes émotions dans une boule que j'ai placé dans ma gorge." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 214, Le livre de poche : 34531).
"J'ai quitté mon malheur en espérant qu'il ne me suivrait pas." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 214, Le livre de poche : 34531).
"Pendant des mois, j'ai enfermé mes émotions dans une boule que j'ai placé dans ma gorge." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 214, Le livre de poche : 34531).
"Les souvenirs ne sont pas douloureux, c'est savoir qu'ils appartiennent au passé qui l'est." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 325, Le livre de poche : 34531).
"Léon a la tête des mauvais jours. Sa tête de tous les jours, donc." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 326, Le livre de poche : 34531).
"Les autres sont importants, il vaut mieux trop leur ouvrir la porte que la leur fermer au nez." (Virginie Grimaldi In Tu comprendras quand tu seras plus grande.- Paris : Fayard, 2016, p. 436, Le livre de poche : 34531).
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