Douglas KENNEDY (Né en 1955) (29 Citations)
Photo Douglas Kennedy © Sébastien LEBAN Leextra Éditions Belfond
Citations de Douglas Kennedy. Article publié le 01/07/2019 à 19H14 et mis à jour le 26/02/2024 à 10H20.
"D'une certaine façon, mon engagement passionnel envers mes enfants avait contrebalancé le manque de passion dans ma vie conjugale." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 279).
"Le spectacle m'a coupé le souffle : en bas, la terre était submergée à perte de vue. Le Déluge universel puissance cinq. L'eau avait tout anéanti. Des cabanes et des troupeaux dérivaient. Et mon regard est tombé sur le premier cadavre." (Douglas Kennedy In Une relation dangereuse ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Pocket, 04/2005, Pocket : 12292, p. 18).
"Quand le hasard le plus arbitraire t'enlève les êtres les plus importants de toute ton existence, tes parents, tu en viens assez vite à mesurer la fragilité de tout, absolument tout. Et tu comprends que la prétendue sécurité n'est rien de plus qu'une couche de vernis qui peut craquer à n'importe quel moment." (Douglas Kennedy In Une relation dangereuse ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Pocket, 04/2005, Pocket : 12292, p. 49).
"C'est ça, ton problème. Croire que tout a une solution, que tout peut se réparer. Sauf que la majorité de ce qui "casse", dans la vie, n'attend même pas ton intervention." (Douglas Kennedy In Une relation dangereuse ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Pocket, 04/2005, Pocket : 12292, p. 134).
"J'ai retenu instantanément ma respiration, comme chaque fois que mon cerveau enregistre le constat suivant : ce que j'ai devant moi, c'est le début de la fin." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 13).
"J'avais la plage pour moi. Trois heures dix-huit d'un magnifique après-midi d'octobre, le ciel d'un bleu intense, la fraîcheur du soir déjà perceptible dans l'air encore lumineux." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 31).
"[...] C'est ce à quoi je pense chaque fois que je me promène sur cette plage et que je contemple l’Atlantique : un monde immense existe au-delà du mien. Face à la mer, je tourne le dos à tout ce qui est mon quotidien, je me plonge dans la grande illusion de "l'ailleurs"." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 32).
"[...] C'est ce à quoi je pense chaque fois que je me promène sur cette plage et que je contemple l’Atlantique : un monde immense existe au-delà du mien. Face à la mer, je tourne le dos à tout ce qui est mon quotidien, je me plonge dans la grande illusion de "l'ailleurs"." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 32).
"J'aime ma fille de tout mon cœur, j'admire son optimisme, sa vivacité, son énergie qui la pousse sans cesse en avant, mais je me demande souvent en avant vers quoi." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 41).
"- Je refuse d'être esclave du quotidien.
- Dans ce cas, ne parle pas de devenir la femme de qui que ce soit" (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 43).
"Je veux dire, le bonheur des autres... en fin de compte, c'est leur problème, vous ne pensez pas ? Et cette remarque s'applique aussi à vos enfants, maintenant qu'ils sont grands." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 43).
"C'est ainsi, quand on est jeune, on se dit qu'on a l'avenir et le monde devant soi, que tout est possible. Jusqu'à ce que la vie commence à poser ses limites." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 50).
"- Je refuse d'être esclave du quotidien.
- Dans ce cas, ne parle pas de devenir la femme de qui que ce soit" (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 43).
"Je veux dire, le bonheur des autres... en fin de compte, c'est leur problème, vous ne pensez pas ? Et cette remarque s'applique aussi à vos enfants, maintenant qu'ils sont grands." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 43).
"C'est ainsi, quand on est jeune, on se dit qu'on a l'avenir et le monde devant soi, que tout est possible. Jusqu'à ce que la vie commence à poser ses limites." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 50).
"Une histoire personnelle, une existence peut-être modifiée par une décision, décision qui n'a pas été mûrement réfléchie." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 50).
"Demain, la route. En tête à tête avec moi-même. Même si c'est une destination que je connais déjà, et qui ne se trouve qu'à quelques encablures de "chez moi", je vais bouger. Un voyage, c'est une échappée temporaire." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 64).
"Demain, la route. En tête à tête avec moi-même. Même si c'est une destination que je connais déjà, et qui ne se trouve qu'à quelques encablures de "chez moi", je vais bouger. Un voyage, c'est une échappée temporaire." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 64).
"La journée avait été particulièrement éprouvante, mais... ne l'étaient-elles pas toutes ? Y avait-il un jour qui ne dresse pas soudain un obstacle, vous obligeant à repenser le cours de votre vie, ou du moins vous rappelant qu'elle ne se déroule jamais comme vous l'auriez voulu ?" (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, pp. 78-79).
"La vérité, c'est que nous avons tous bien plus de possibilités que ce que nous croyons, ou que nous sommes prêts à reconnaître." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 88).
"Ainsi va la vie : vous faites des projets et puis un accident survient, soufflant votre existence comme la flamme fragile d'une bougie." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 90).
"Ma mère se montrait intraitable sur ce point : "On pourra geindre tout ce qu'on voudra quand on sera mort, et ça n'y changera rien, bien entendu, mais, tant qu'on est en vie et bien portant, on avance, c'est tout." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 104).
"Connaît-on jamais l'entière vérité sur autrui ? Comment pourrions-nous comprendre les ressorts intimes d'une autre volonté alors que nous arrivons à peine à entrevoir la manière dont la nôtre fonctionne ?" (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 105).
"Je préférerais voir ma fille irrévérencieuse qu'obsédée par le désir de plaire à tout le monde." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 149).
"- Tu as besoin d'une bonne leçon de temps à autre. J'aurais dû lui dire qu'il se trompait, que ce n'est pas de "leçons" que nous avions besoin, mais de preuves d'amour." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 150).
"Une simple chanson a le pouvoir de réveiller les souvenirs les plus enfouis, de ressusciter des ambiances, un état d'esprit." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 153).
"[...] Nous craignons tous, à un moment ou à un autre, de lancer une conversation qui risquerait de nous mener dans les zones les plus sombres et les plus inquiétantes de notre existence." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 160).
"Je préférerais voir ma fille irrévérencieuse qu'obsédée par le désir de plaire à tout le monde." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 149).
"- Tu as besoin d'une bonne leçon de temps à autre. J'aurais dû lui dire qu'il se trompait, que ce n'est pas de "leçons" que nous avions besoin, mais de preuves d'amour." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 150).
"Une simple chanson a le pouvoir de réveiller les souvenirs les plus enfouis, de ressusciter des ambiances, un état d'esprit." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 153).
"C'est toujours ainsi, avec le malheur des autres : s'il est facile d'observer depuis le banc de touche et de prodiguer des conseils, la vérité impose de reconnaître qu'il n'y a pas de solution miracle et universelle aux coups que la vie nous porte." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 175).
"Au fond, le malheur du voisin nous terrorise tellement que nous essayons de rationaliser l'irrationnel, parce que, en secret, nous savons que nous ne sommes pas à l'abri d'une catastrophe imprévisible et destructrice." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, pp. 175-176).
"[...] J'ai lu quelque part que, peu de temps avant sa mort, Steve Jobs a confié à un ami qu'il avait beau être fasciné par toutes sortes de notions mystiques de l'au-delà, il trouvait que la mort ressemblait trop à la fonction "éteindre" de ses ordinateurs. La touche "off" la plus puissante qui soit." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 197).
"[...] J'ai lu quelque part que, peu de temps avant sa mort, Steve Jobs a confié à un ami qu'il avait beau être fasciné par toutes sortes de notions mystiques de l'au-delà, il trouvait que la mort ressemblait trop à la fonction "éteindre" de ses ordinateurs. La touche "off" la plus puissante qui soit." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 197).
"Tous les gens divorcés que j'ai connus m'ont raconté que le plus dur avait été d'accepter que leur mariage ait été un échec." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 199).
"Changement d'identité. Je n'ignore pas ce qu'il y a de compliqué, voire de douloureux à s'extraire de la personnalité que l'on s'est imposée." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 215).
"Changement d'identité. Je n'ignore pas ce qu'il y a de compliqué, voire de douloureux à s'extraire de la personnalité que l'on s'est imposée." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 215).
""Quand le moment serait venu." ; c'est vraiment le propre de la jeunesse d'ignorer qu'il y a ensuite un âge où le temps s'accélère de manière vertigineuse, féroce. Et aussi de se croire entièrement à l'abri du hasard, de... l'accidentel." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, p. 231).
"L'homme que je ne connaissais que depuis deux jours me répétait sans cesse qu'il m'aimait. Celui auquel j'étais mariée depuis plus de vingt ans n'arrivait plus à l'exprimer. Car il ne m'aimait plus." (Douglas Kennedy In Cinq jours ; trad. de l'américain par Bernard Cohen.- Paris : Belfond, 10/2013, pp. 274-275).
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