Francesca MELANDRI (Née en 1964) (10 Citations).
Francesca Melandri (c) : Photo Samuel Kirszenbaum pour Libération
Citations de Francesca Melandri. Article mis à jour le : 06/07/2023.
"L'homme les suivit mais la tête tournée en arrière, le regard toujours sur la mer. Il avait l'air d'un enfant que des adultes pressaient veulent entraîner loin d'une vitrine de jouets." (Francesca Melandri In Plus haut que la mer : roman ; trad. de l'italien par Danièle Valin.- Paris : Gallimard, 01/2015, p. 48).
"Une Africaine était assise sur un banc métallique blanc rouillé sur le pont de proue. Elle regardait fixement devant elle, un vrai profil de médaille." (Francesca Melandri In Plus haut que la mer : roman ; trad. de l'italien par Danièle Valin.- Paris : Gallimard, 01/2015, pp. 23-24).
"Il s'en passait de belles pendant les visites en prison. Les femmes des détenus pleuraient beaucoup au retour, bien plus qu'à l'aller, et pas seulement de nostalgie." (Francesca Melandri In Plus haut que la mer : roman ; trad. de l'italien par Danièle Valin.- Paris : Gallimard, 01/2015, pp. 25-26).
"Quand il était arrivé tout jeune sur l’Ile, elle lui avait fait l'effet d'une prison à ciel ouvert". (Francesca Melandri In Plus haut que la mer : roman ; trad. de l'italien par Danièle Valin.- Paris : Gallimard, 01/2015, p. 40).
"Était-il possible que les visiteurs d'une prison spéciale soient accueillis par la beauté de la nature ? Oui c'était possible. Et ça, c'était une duperie, une cruauté, une aberration". (Francesca Melandri In Plus haut que la mer : roman ; trad. de l'italien par Danièle Valin.- Paris : Gallimard, 01/2015, p. 44).
"Il avait de grands yeux couleur des feuilles d'avril, les cheveux raides et noirs comme des mines de crayon." (Francesca Melandri In Plus haut que la mer : roman ; trad. de l'italien par Danièle Valin.- Paris : Gallimard, 01/2015, p. 44).
"Pendant plusieurs centaines de mètres, le véhicule avança de façon régulière, puis il y eut une grosse secousse, une autre et une autre encore, et on comprit que ça ne faisait que commercer". (Francesca Melandri In Plus haut que la mer : roman ; trad. de l'italien par Danièle Valin.- Paris : Gallimard, 01/2015, p. 50).
"N'importe quel gardien vivant là depuis un moment se vantait du jour où il avait failli tomber de la falaise, ou de l'impact évité d'un cheveu contre un gros rocher. Mais il existait aussi des cas où il ne restait plus personne pour raconter." (Francesca Melandri In Plus haut que la mer : roman ; trad. de l'italien par Danièle Valin.- Paris : Gallimard, 01/2015, p. 55).
"De la prison spéciale, elle ne percevait que le silence, dense et carnivore comme le souffle d'un prédateur". (Francesca Melandri In Plus haut que la mer : roman ; trad. de l'italien par Danièle Valin.- Paris : Gallimard, 01/2015, p. 64).
"Avec quelle force le vent pénètre-t-il dans une cellule ? Comme un courant d'air ? Une rafale ?"(Francesca Melandri In Plus haut que la mer : roman ; trad. de l'italien par Danièle Valin.- Paris : Gallimard, 01/2015, p. 107).
"De la prison spéciale, elle ne percevait que le silence, dense et carnivore comme le souffle d'un prédateur". (Francesca Melandri In Plus haut que la mer : roman ; trad. de l'italien par Danièle Valin.- Paris : Gallimard, 01/2015, p. 64).
"Avec quelle force le vent pénètre-t-il dans une cellule ? Comme un courant d'air ? Une rafale ?"(Francesca Melandri In Plus haut que la mer : roman ; trad. de l'italien par Danièle Valin.- Paris : Gallimard, 01/2015, p. 107).
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