Antoine LEIRIS (Né en 1981) (15 Citations).
Citations d'Antoine Leiris. Article publié le 28/05/2022 à 15h49 et mis à jour le 25/02/2024 à 11h05.
Conseil de lecture de l'essai Vous n'aurez pas ma haine d'Antoine Leiris.
"Comme toujours au début des grandes histoires, je pensais qu'elle ne voudrait pas de quelqu'un comme moi. Je la trouvais trop belle, trop parisienne, trop tout, pour moi qui n'était rien." (Antoine Leiris In Vous n'aurez pas ma haine.- Paris : Fayard, 03/2016, pp. 48-49).
"J'ai envie de crier. C'est impossible, il ne faut pas réveiller bébé." (Antoine Leiris In Vous n'aurez pas ma haine.- Paris : Fayard, 03/2016, p. 15).
"Plus le crime est odieux, plus le coupable est idéal, plus la haine est légitime." (Antoine Leiris In Vous n'aurez pas ma haine.- Paris : Fayard, 03/2016, p. 39).
"On ne compte pas les larmes et on ne les sèche pas sur la manche de la colère." (Antoine Leiris In Vous n'aurez pas ma haine.- Paris : Fayard, 03/2016, p. 40).
"Ceux qui n'ont personne à blâmer sont seuls avec leur chagrin. Je me sens de ceux-là." (Antoine Leiris In Vous n'aurez pas ma haine.- Paris : Fayard, 03/2016, p. 40).
"La mort attendait sa mère ce soir-là, eux n'étaient que des ambassadeurs." (Antoine Leiris In Vous n'aurez pas ma haine.- Paris : Fayard, 03/2016, p. 40).
"Il manquera quelqu'un sur le tableau, il n'y aura plus que nous deux, mais nous prendrons toute la place. Elle sera avec nous, là, invisible. C'est dans nos yeux qu'on lira sa présence, dans notre joie que brûlera sa flamme, dans nos veines que couleront ses larmes." (Antoine Leiris In Vous n'aurez pas ma haine.- Paris : Fayard, 03/2016, p. 40).
"Nous ne reviendrons jamais à notre vie d'avant. Mais nous ne construirons pas une vie contre eux. Nous avancerons dans notre vie à nous." (Antoine Leiris In Vous n'aurez pas ma haine.- Paris : Fayard, 03/2016, p. 41).
"On devrait distribuer des gilets fluorescents à tous ceux que l'on a envie d'éviter. Le soutien psychologique en a ce matin-là, ce qui me facilite la tâche. Je ne veux pas leur parler. J'ai l'impression qu'ils veulent me voler. Me prendre mon malheur, lui appliquer un baume de formules toutes faites, pour me le rendre dénaturé, sans poésie, sans beauté, insipide." (Antoine Leiris In Vous n'aurez pas ma haine.- Paris : Fayard, 03/2016, p. 45).
"On m'a proposé dix fois de m'asseoir depuis que je suis arrivé ; je refuse, de peur de ne plus pouvoir me relever." (Antoine Leiris In Vous n'aurez pas ma haine.- Paris : Fayard, 03/2016, p. 46).
"Cet amour était notre trésor." (Antoine Leiris In Vous n'aurez pas ma haine.- Paris : Fayard, 03/2016, p. 49).
"Notre vie à deux défile devant mes yeux. J'ai l'impression de n'en avoir jamais eu d'autre." (Antoine Leiris In Vous n'aurez pas ma haine.- Paris : Fayard, 03/2016, p. 49).
"Ces moments les plus insignifiants, où il n'y a rien à montrer, rien à raconter sont les plus beaux. Ce sont eux qui peuplent ma mémoire." (Antoine Leiris In Vous n'aurez pas ma haine.- Paris : Fayard, 03/2016, p. 50).
"Ce chagrin, on l'imagine pur et détaché de toute contingence matérielle, la réalité d'un enterrement reprend très vite ses droits. Même pas le temps de prendre conscience de ce qui vous est arrivé que le défilé des "désolés" en costume noir a déjà commencé." (Antoine Leiris In Vous n'aurez pas ma haine.- Paris : Fayard, 03/2016, p. 56).
"Vendredi soir vous avez volé la vie d'un être d'exception, l'amour de ma vie, la mère de mon fils mais vous n'aurez pas ma haine." (Antoine Leiris In Vous n'aurez pas ma haine.- Paris : Fayard, 03/2016, p. 63).
Commentaires
Enregistrer un commentaire