Véronique OVALDE (née en 1972) (9 citations).

Citations de Véronique Ovaldé. Article mis à jour le : 07/08/2023.

"Gloria observait Samuel et se demandait sur quoi reposait une relation : était-ce simplement sur la capacité d'oubli et de pardon de chacun des protagonistes ?" (Véronique Ovaldé In Personne n'a peur des gens qui sourient : roman.- Paris : Flammarion, 02/2019, p. 181).

"Si elle ne s'aimait pas beaucoup, elle se préférait encore aux autres. Ce qui est une posture qui vous sépare de manière certaine de vos contemporains." (Véronique Ovaldé In Personne n'a peur des gens qui sourient : roman.- Paris : Flammarion, 02/2019, p. 20).

"Elle avait un regard intense et sombre, et sa peau était aussi blanche que l'intérieur de l'écorce d'un citron, c'était renversant." (Véronique Ovaldé In Personne n'a peur des gens qui sourient : roman.- Paris : Flammarion, 02/2019, p. 26).

"Cette manière qu'on a d'être tétanisé face à l'autre qu'on aimera plus que tout, et de ne pas se rendre compte un seul instant qu'il est aussi effrayé que nous, est une chose qui me bouleverse." (Véronique Ovaldé In Personne n'a peur des gens qui sourient : roman.- Paris : Flammarion, 02/2019, p. 26).

"Il n'y a rien de plus contagieux que la méfiance. C'est un redoutable venin." (Véronique Ovaldé In Personne n'a peur des gens qui sourient : roman.- Paris : Flammarion, 02/2019, p. 43).

"Comment échapper à la nostalgie, et à l'inquiétude que fait naître l'avenir ? Comment sortir de cet état si intranquille." (Véronique Ovaldé In Personne n'a peur des gens qui sourient : roman.- Paris : Flammarion, 02/2019, p. 65).

"Gloria n'aurait jamais imaginé devenir l'une de ces personnes qui regardent leur enfant et pensent, le temps passe si vite." (Véronique Ovaldé In Personne n'a peur des gens qui sourient : roman.- Paris : Flammarion, 02/2019, p. 176).

"Je trouve ça terrifiant, en fait, qu'on vous avertisse en permanence de ce qu'on risque." (Extrait de l'émission La Grande Librairie, diffusée le 03/11/2016 sur France 5, et présentée par François Busnel).

"Je comprends mieux le Nigéria parce que j'ai lu Ben Okri, je comprends mieux la Chine aussi parce que j'ai lu Mo Yan. Le roman offre une connaissance du monde." (Interview parue dans Lire n°418 de Septembre 2013, p. 99).