Frédérique DEGHELT (11 citations).
"Vous avez une image sous les yeux, c'est votre réalité. Maintenant, enlevez les cadres et essayez de voir au-delà de cette image." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 176).
"Parfois, il faudrait emmener ses proches dans des situations extrêmes. Ca reste le meilleur moyen de savoir si on a encore des choses à se dire, à partager." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 42).
"Examiner les raisons pour lesquelles un être humain nous dit quelque chose avant d'entendre véritablement ce qu'il dit donne une bien meilleure analyse de la situation." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 43).
"A Paris, les fruits n'ont pas d'odeur. Les fraises sont devenues comme les gens, ils ne sentent plus rien." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 47).
"Rien n'existe tout seul. Les choses qui arrivent sont tout d'abord une pensée, un désir, un projet." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 54).
"Elle était euphorique ou abattue, comme un ascenseur qui n'aurait jamais fait d'arrêt aux étages intermédiaires." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 75).
"Quand je m'en laisse le temps, je me demande ce que serait devenue ma vie si j'avais emprunté tel chemin ou tel autre. Les possibilités du non-vécu me fascinent." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 85).
"Nous sommes très occupés par ce qui ne compte pas, ce qui ne génère pas d'amour, ce qui ne coûte que de l'argent, ce qui matérialise et mécanise tout ce qui pourrait nous déranger." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 174).
"Je n'en suis plus à croire qu'on change un homme. On change d'homme." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 245).
"Je suis en train de comprendre qu'il ne faut rien faire pour être aimée. Ceux qui nous aiment nous parent de qualités immenses que nous n'avons sûrement pas mais qu'ils voient, et c'est le plus charmant des leurres." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 261).
"Je vais être moi et c'est délicieux ; je vais être celle qu'il ne connaît pas et qu'il commence déjà à détester alors que je la découvre avec ravissement. Je quitte celle qu'il aimait pour me trouver. On aimera ou non celle que je veux être désormais, sans partage, sans compromis, sans négociation mesquine." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 261).
"Parfois, il faudrait emmener ses proches dans des situations extrêmes. Ca reste le meilleur moyen de savoir si on a encore des choses à se dire, à partager." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 42).
"Examiner les raisons pour lesquelles un être humain nous dit quelque chose avant d'entendre véritablement ce qu'il dit donne une bien meilleure analyse de la situation." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 43).
"A Paris, les fruits n'ont pas d'odeur. Les fraises sont devenues comme les gens, ils ne sentent plus rien." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 47).
"Rien n'existe tout seul. Les choses qui arrivent sont tout d'abord une pensée, un désir, un projet." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 54).
"Elle était euphorique ou abattue, comme un ascenseur qui n'aurait jamais fait d'arrêt aux étages intermédiaires." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 75).
"Quand je m'en laisse le temps, je me demande ce que serait devenue ma vie si j'avais emprunté tel chemin ou tel autre. Les possibilités du non-vécu me fascinent." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 85).
"Nous sommes très occupés par ce qui ne compte pas, ce qui ne génère pas d'amour, ce qui ne coûte que de l'argent, ce qui matérialise et mécanise tout ce qui pourrait nous déranger." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 174).
"Je n'en suis plus à croire qu'on change un homme. On change d'homme." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 245).
"Je suis en train de comprendre qu'il ne faut rien faire pour être aimée. Ceux qui nous aiment nous parent de qualités immenses que nous n'avons sûrement pas mais qu'ils voient, et c'est le plus charmant des leurres." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 261).
"Je vais être moi et c'est délicieux ; je vais être celle qu'il ne connaît pas et qu'il commence déjà à détester alors que je la découvre avec ravissement. Je quitte celle qu'il aimait pour me trouver. On aimera ou non celle que je veux être désormais, sans partage, sans compromis, sans négociation mesquine." (In Les brumes de l'apparence : roman. Arles : Actes Sud, 2014, Babel, p. 261).
Commentaires
Enregistrer un commentaire