Anne BROCHET (née en 1966) (12 citations).
"Mon esprit n'a jamais assimilé l'idée de la perte". (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 20).
"J'habite un espace mental où le temps passé, présent et futur ne font qu'un". (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 20).
"Vivre, c'est apprendre à perdre, dit-on. Alors je ne sais pas vivre." (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 20).
"Quand j'ai cherché à te rencontrer, dans une sorte de fantasme fulgurant, je nous voyais amoureux, alors même que je ne connaissais pas ton visage." (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 22).
"Je veux le calme. Sans vouloir lâcher la volupté. Je veux savoir si l'un peut cohabiter avec l'autre, si la volupté n'existe que lorsque le calme est absent, ou si c'est le calme qui éteint la volupté." (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 41).
"Mais, alors même que j'ai horreur du conflit, j'aime les situations inconfortables. Dans ma vie amoureuse, les tensions me dévastent, mais je ne supporte pas la "convivialité conjugale"." (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 46).
"Tu aimerais connaître ma vie amoureuse, Bruno. En avoir une petite idée. Je ne sais pas parler de l'amour ; je peux tout au plus l'écrire. Je reste évasive. Je te dis juste qu'un homme a marqué profondément mon coeur". (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 71).
"Je lui ai dit que je voulais lui appartenir, que j'étais lasse de n'être à rien ni à personne et que j'étais faite pour lui". (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 76).
"La véritable imprévisible de l'histoire, c'est moi. Je doute et perds le sens des choses. J'ai l'impression que je vais mourir d'une minute à l'autre. Je ne sais plus comment vivre". (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 76).
"Elle guetta son sentiment d'exclusion et le tint à distance. Il ne fallait pas qu'il rentre dans son ventre et la pince sournoisement". (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, pp. 94-95).
"Là où tant d'autres considéraient la relation amoureuse comme une porte ouverte sur l'avenir, elle y voyait sa propre fin". (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 191).
"Elle savait très bien que ses fatigues étaient dues aux émotions trop fortes. Elle se consumait puis se glaçait". (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 220).
"J'habite un espace mental où le temps passé, présent et futur ne font qu'un". (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 20).
"Vivre, c'est apprendre à perdre, dit-on. Alors je ne sais pas vivre." (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 20).
"Quand j'ai cherché à te rencontrer, dans une sorte de fantasme fulgurant, je nous voyais amoureux, alors même que je ne connaissais pas ton visage." (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 22).
"Je veux le calme. Sans vouloir lâcher la volupté. Je veux savoir si l'un peut cohabiter avec l'autre, si la volupté n'existe que lorsque le calme est absent, ou si c'est le calme qui éteint la volupté." (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 41).
"Mais, alors même que j'ai horreur du conflit, j'aime les situations inconfortables. Dans ma vie amoureuse, les tensions me dévastent, mais je ne supporte pas la "convivialité conjugale"." (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 46).
"Tu aimerais connaître ma vie amoureuse, Bruno. En avoir une petite idée. Je ne sais pas parler de l'amour ; je peux tout au plus l'écrire. Je reste évasive. Je te dis juste qu'un homme a marqué profondément mon coeur". (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 71).
"Je lui ai dit que je voulais lui appartenir, que j'étais lasse de n'être à rien ni à personne et que j'étais faite pour lui". (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 76).
"La véritable imprévisible de l'histoire, c'est moi. Je doute et perds le sens des choses. J'ai l'impression que je vais mourir d'une minute à l'autre. Je ne sais plus comment vivre". (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 76).
"Elle guetta son sentiment d'exclusion et le tint à distance. Il ne fallait pas qu'il rentre dans son ventre et la pince sournoisement". (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, pp. 94-95).
"Là où tant d'autres considéraient la relation amoureuse comme une porte ouverte sur l'avenir, elle y voyait sa propre fin". (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 191).
"Elle savait très bien que ses fatigues étaient dues aux émotions trop fortes. Elle se consumait puis se glaçait". (In Le grain amer : roman. Paris : Seuil, 04/2015, p. 220).
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