Ben MARCUS (né en 1967) (14 citations).
"Elle aboya mon nom jusqu'à ce qu'il devint une insulte, le dit plus fort, plus bas, le toussa et me le cracha dessus" (Ben Marcus In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 20).
"Il était si facile de consentir aux choses quand elles ne nous mettaient pas à l'épreuve." (Ben Marcus In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 19).
"Que la souffrance pût nous atteindre par des biais toujours plus inventifs, nous l'avions probablement de tout temps pressenti." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 21).
"Esther avait l'air d'étudier notre conversation pour un exposé. Son visage était dépourvu d'expressions. Elle venait de refuser l'amitié d'une autre personne et peut-être que dans son monde -avec sa comptabilité nouvelle génération-, c'était marquer un point, remporter une victoire." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 41).
"J'avais appris à ignorer ces bouffées de terreur. On finit par arrêter de prêter attention à ses propres sentiments quand on ne peut plus les contrôler." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 41).
"Parfois il est préférable d'empêcher les gens de communiquer. L'échange d'informations n'a pas toujours été une bonne chose. Parfois, c'est une chose terrible. Ça l'a peut-être toujours été." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 87).
"Qu'est-ce qui n'était pas un échec ? voulais-je savoir. Est-ce qu'il y avait quelque chose qui marchait ?" (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 93).
"Il était si facile de consentir aux choses quand elles ne nous mettaient pas à l'épreuve." (Ben Marcus In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 19).
"Que la souffrance pût nous atteindre par des biais toujours plus inventifs, nous l'avions probablement de tout temps pressenti." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 21).
"Esther avait l'air d'étudier notre conversation pour un exposé. Son visage était dépourvu d'expressions. Elle venait de refuser l'amitié d'une autre personne et peut-être que dans son monde -avec sa comptabilité nouvelle génération-, c'était marquer un point, remporter une victoire." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 41).
"J'avais appris à ignorer ces bouffées de terreur. On finit par arrêter de prêter attention à ses propres sentiments quand on ne peut plus les contrôler." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 41).
"Parfois il est préférable d'empêcher les gens de communiquer. L'échange d'informations n'a pas toujours été une bonne chose. Parfois, c'est une chose terrible. Ça l'a peut-être toujours été." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 87).
"Qu'est-ce qui n'était pas un échec ? voulais-je savoir. Est-ce qu'il y avait quelque chose qui marchait ?" (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 93).
"J'attendis, mais elle ne finit pas sa phrase. Cela creusa un petit trou dans l'air entre nous, et le trou palpita ; je m'aperçus que c'était à moi de le remplir" (Ben Marcus In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 114).
"C'est de ma faute, dit Claire en tremblant. Elle fit un geste vers la rue comme si elle portait la responsabilité du monde entier, ce monde qui était devant notre maison : les gens, les arbres, le temps. C'est elle qui avait fait ça." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 116).
"A mesure que diminuait notre tolérance à la parole des enfants nous quittait aussi notre capacité de parler." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 125).
"Renversons les termes et supposons que le langage, comme presque tout le reste est un poison lorsqu'on le consomme en excès. Pourquoi ne pas s'en prendre à la folie qui a conduit à une utilisation si généralisée de quelque chose de si intense, de si puissant que le langage ?" (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 140).
"Cet homme refusait de lire entre les lignes, de reconnaître ce qui était sous-entendu, et ainsi nous étions coincés dans la prison du premier degré ; il était impossible d'y échapper." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 150).
"Ils étaient nés avec le langage, ils étaient faits pour parler et écouter et partager ce qu'ils ressentaient et pensaient. Si de telles activités les tuaient, et bien qu'il en soit ainsi." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 204).
"Ce que nous désirons n'est presque jamais exempt d'impossible" (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 315).
"C'est de ma faute, dit Claire en tremblant. Elle fit un geste vers la rue comme si elle portait la responsabilité du monde entier, ce monde qui était devant notre maison : les gens, les arbres, le temps. C'est elle qui avait fait ça." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 116).
"A mesure que diminuait notre tolérance à la parole des enfants nous quittait aussi notre capacité de parler." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 125).
"Renversons les termes et supposons que le langage, comme presque tout le reste est un poison lorsqu'on le consomme en excès. Pourquoi ne pas s'en prendre à la folie qui a conduit à une utilisation si généralisée de quelque chose de si intense, de si puissant que le langage ?" (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 140).
"Cet homme refusait de lire entre les lignes, de reconnaître ce qui était sous-entendu, et ainsi nous étions coincés dans la prison du premier degré ; il était impossible d'y échapper." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 150).
"Ils étaient nés avec le langage, ils étaient faits pour parler et écouter et partager ce qu'ils ressentaient et pensaient. Si de telles activités les tuaient, et bien qu'il en soit ainsi." (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 204).
"Ce que nous désirons n'est presque jamais exempt d'impossible" (In L'alphabet de flammes, Ed. du Sous-Sol, 2014, p. 315).
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