Gilles PARIS (né en 1959) (19 citations).
"La voix à madame Colette est aussi dure qu'un croûton de pain." (In Autobiographie d'une courgette, J'ai lu, 2003, p. 128).
"C'est simple, maman lit tout le temps, sauf sous la douche ou quand elle dort." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, p. 12).
"Alicia est toujours un peu gourde avec Luigi. Comme si elle était en face d'une montagne sans savoir de quel côté l'escalader" (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, p. 42).
"Un premier roman d'un auteur de cinquante ans. Moi, je trouve qu'il en a mis du temps à l'écrire. Ou alors il l'a écrit à mon âge et a attendu quarante ans pour oser le faire lire." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, p. 44).
"Des fois la tristesse est plus contagieuse que certaines maladies." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, pp. 47).
"Je sais bien qu'Alicia ne pense pas toujours ce qu'elle dit. Mais ses mots entrent en moi comme des petites aiguilles qui font mal." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, pp. 53-54).
"Je me demande si maman dort déjà. Je sais qu'elle lit souvent tard dans la nuit et que les mots remplacent aussi les nuits sans sommeil." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, pp. 57).
"La langue des soeurs Couton est aussi pendue que celle d'un chien assoiffé. Elles ont toujours un secret à raconter à tout le monde, le genre de secret dont "il-ne-faut-parler-à-personne."" (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, p. 94).
"Je veux être sûr qu'elle m'aime toujours, plus que tous ces livres qui prennent tout son temps. Des fois, j'aimerais être un roman pour ne plus quitter sa main." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, p. 113).
"Tout autour de nous la plage est aussi pleine qu'au concert de Madonna où papa m'a emmené l'année dernière. On voit peu le sable." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, p. 138).
"Justine me regarde, soucieuse. Ses yeux verts sont un lac où j'aimerais nager, quelque soit sa tempête." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, p. 187).
"La vie sans magie, c'est juste la vie." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, pp. 220).
"Il transpire sous son blouson comme s'il avait roulé avec le soleil dans sa voiture." (Gilles Paris In Autobiographie d'une courgette, J'ai lu, 2003, p. 53).
"Apprendre par cœur c'est pas pour moi et je vois pas ce que le cœur vient faire dans tout ça." (Gilles Paris In Autobiographie d'une courgette, J'ai lu, 2003, p. 74).
"Il faut pas faire mal à Camille avec mes questions. Des fois ça fait mal les questions." (In Autobiographie d'une courgette, J'ai lu, 2003, p. 83).
"L'église, c'est la maison au bon Dieu qui y est jamais." (In Autobiographie d'une courgette, J'ai lu, 2003, p. 89).
"Elle rêvait d'une autre vie à chaque instant, sans vivre la moindre miette de la sienne." (In Autobiographie d'une courgette, J'ai lu, 2003, p. 110).
"Quoi, Courgette, mais qu'est-ce que tu fais là ?
Je m'assois sur son lit et je dis : j'arrive pas à dormir.
Va dans ta chambre et compte les moutons, répond cet idiot en se tournant contre le mur.
J'attends un peu et je dis : y a pas de moutons dans la chambre et de toute façon il fait trop noir pour les compter." (In Autobiographie d'une courgette, J'ai lu, 2003, p. 142).
"Je ne connais pas un aussi joli sourire : il allume tout son visage comme une lampe au-dessus de sa tête." (In Autobiographie d'une courgette, J'ai lu, 2003, p. 150).
Conseil de lecture du roman "Autobiographie d'une courgette" sur : http://conseilsdelectures.blogspot.fr/2015/04/autobiographie-dune-courgette-roman.html
"C'est simple, maman lit tout le temps, sauf sous la douche ou quand elle dort." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, p. 12).
"Alicia est toujours un peu gourde avec Luigi. Comme si elle était en face d'une montagne sans savoir de quel côté l'escalader" (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, p. 42).
"Un premier roman d'un auteur de cinquante ans. Moi, je trouve qu'il en a mis du temps à l'écrire. Ou alors il l'a écrit à mon âge et a attendu quarante ans pour oser le faire lire." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, p. 44).
"Des fois la tristesse est plus contagieuse que certaines maladies." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, pp. 47).
"Je sais bien qu'Alicia ne pense pas toujours ce qu'elle dit. Mais ses mots entrent en moi comme des petites aiguilles qui font mal." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, pp. 53-54).
"Je me demande si maman dort déjà. Je sais qu'elle lit souvent tard dans la nuit et que les mots remplacent aussi les nuits sans sommeil." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, pp. 57).
"La langue des soeurs Couton est aussi pendue que celle d'un chien assoiffé. Elles ont toujours un secret à raconter à tout le monde, le genre de secret dont "il-ne-faut-parler-à-personne."" (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, p. 94).
"Je veux être sûr qu'elle m'aime toujours, plus que tous ces livres qui prennent tout son temps. Des fois, j'aimerais être un roman pour ne plus quitter sa main." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, p. 113).
"Tout autour de nous la plage est aussi pleine qu'au concert de Madonna où papa m'a emmené l'année dernière. On voit peu le sable." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, p. 138).
"Justine me regarde, soucieuse. Ses yeux verts sont un lac où j'aimerais nager, quelque soit sa tempête." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, p. 187).
"La vie sans magie, c'est juste la vie." (In L'été des lucioles : roman. Ed. Héloïse d'Ormesson, 2014, pp. 220).
"Il transpire sous son blouson comme s'il avait roulé avec le soleil dans sa voiture." (Gilles Paris In Autobiographie d'une courgette, J'ai lu, 2003, p. 53).
"Apprendre par cœur c'est pas pour moi et je vois pas ce que le cœur vient faire dans tout ça." (Gilles Paris In Autobiographie d'une courgette, J'ai lu, 2003, p. 74).
"Il faut pas faire mal à Camille avec mes questions. Des fois ça fait mal les questions." (In Autobiographie d'une courgette, J'ai lu, 2003, p. 83).
"L'église, c'est la maison au bon Dieu qui y est jamais." (In Autobiographie d'une courgette, J'ai lu, 2003, p. 89).
"Elle rêvait d'une autre vie à chaque instant, sans vivre la moindre miette de la sienne." (In Autobiographie d'une courgette, J'ai lu, 2003, p. 110).
"Quoi, Courgette, mais qu'est-ce que tu fais là ?
Je m'assois sur son lit et je dis : j'arrive pas à dormir.
Va dans ta chambre et compte les moutons, répond cet idiot en se tournant contre le mur.
J'attends un peu et je dis : y a pas de moutons dans la chambre et de toute façon il fait trop noir pour les compter." (In Autobiographie d'une courgette, J'ai lu, 2003, p. 142).
"Je ne connais pas un aussi joli sourire : il allume tout son visage comme une lampe au-dessus de sa tête." (In Autobiographie d'une courgette, J'ai lu, 2003, p. 150).
Conseil de lecture du roman "Autobiographie d'une courgette" sur : http://conseilsdelectures.blogspot.fr/2015/04/autobiographie-dune-courgette-roman.html
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